Les Chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue joignent leur voix à celle de la Conférence des préfets de la région pour dénoncer fermement le silence du gouvernement du Québec à la suite de multiples demandes de rencontre portant sur le grave déséquilibre fiscal qui freine le développement de notre territoire. Malgré l’envoi de 22 demandes formelles aux ministères, à Hydro-Québec, aux chefs des partis provinciaux et au Premier ministre François Legault, seules quatre réponses ont été reçues. Cette absence de dialogue démontre un manque flagrant de reconnaissance des enjeux économiques spécifiques de l’AbitibiTémiscamingue.
L’Abitibi-Témiscamingue unie pour défendre une immigration régionale durable
Dans le cadre des consultations publiques sur la planification pluriannuelle de l’immigration au Québec, divers acteurs régionaux de l’Abitibi-Témiscamingue ont joint leur voix pour réitérer l’importance vitale de l’immigration dans le développement économique, social et communautaire du territoire. À travers le dépôt d’un mémoire étoffé, les représentantes et représentants régionaux demandent au gouvernement du Québec, de reconnaître les réalités spécifiques de à notre région, notamment en matière de démographie et de main-d’œuvre.
La FCCQ et les Chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue exigent un moratoire immédiat sur les restrictions
À l’occasion de leur grande rencontre annuelle, les Chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue et la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) unissent leurs voix et interpellent les gouvernements pour exiger une fois de plus un moratoire immédiat sur les restrictions au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) imposées depuis l’automne dernier.
La FCCQ et les chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue dénoncent un recul pour l’économie québécoise
La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et les chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue déplorent l’intention du gouvernement de réduire les seuils d’immigration permanente et temporaire, telle que présentée dans le cahier de consultation dévoilé aujourd’hui.