Une deuxième édition pour le Prix Diversité

Val-d’Or, le 4 mars 2024 – Le Carrefour Jeunesse Emploi d’Abitibi-Est (CJEAE) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) s’associent à nouveau pour la deuxième édition du Prix Diversité. Les entreprises, organismes à but non lucratif et institutions sont donc appelés à soumettre dès maintenant leur candidature. Le Prix Diversité sera décerné à une organisation qui se démarque par son engagement et ses bonnes pratiques envers les travailleuses et les travailleurs issus de l’immigration.

Cette initiative découle des ententes convenues dans le cadre du Programme d’appui aux collectivités entre le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) et la CCVD et le CJEAE.

« Le nombre d’organisations qui se tourne vers l’immigration est en croissance exponentielle sur notre territoire, étant l’une des solutions pour pallier à la pénurie de main-d’œuvre. Ces organisations ont une responsabilité qui va bien au-delà du recrutement, et qui se poursuit tout au long du parcours d’adaptation de la personne immigrante. Avec le Prix Diversité, nous venons miser sur l’importance de l’accueil, de l’inclusion dans le milieu de travail et de l’enracinement dans la communauté et  reconnaitre une entreprise qui se démarque en ce sens » affirme Mme Hélène Paradis, directrice générale de la CCVD.

« Notre belle communauté accueille un nombre grandissant de personnes issues de l’immigration. L’intégration et l’enracinement de ces personnes dans la Vallée-de-l’Or passent en partie par l’emploi d’où l’importance de prendre en considération l’impact que les employeurs peuvent avoir sur l’épanouissement de leurs employés. Avec le Prix Diversité, nous souhaitons souligner l’engagement d’un employeur qui se démarque par ses pratiques managériales inclusives et qui favorise l’intégration et l’enracinement de nos nouveaux citoyens. » affirme Vanessa Thibault, directrice générale par intérim du Carrefour jeunesse-emploi d’Abitibi-Est.

Le récipiendaire du Prix Diversité sera dévoilé lors de la Matinée Diversité qui se tiendra le 23 mai 2024. L’entreprise lauréate se méritera le trophée perpétuel du Prix Diversité, une plaque honorifique ainsi que le tournage et la réalisation d’une capsule vidéo mettant en lumière leur engagement lié à diversité ethnoculturelle.

Soumettre sa candidature

Pour soumettre leur candidature, les entreprises et organismes sont invités à remplir le court formulaire disponible ici ou au www.ccvd.qc.ca dans la section « Projets – Diversité et Immigration ».

Parmi les critères qui seront évalués, mentionnons la place accordée au sein de l’organisation à la diversité ethnoculturelle, les initiatives afin de favoriser l’inclusion et l’enracinement de la main-d’œuvre immigrante et les ressources mises en place et/ou consultées afin d’assurer un climat de travail sain et harmonieux. La période de mise en candidature se terminera le 29 mars 2024, 16 h.

Pour visionner la capsule du lauréat du Prix Diversité 2023, Interfor, cliquez ici.

Budget du Québec 2024-2025 : Plus de 30 représentant.e.s de partout au Québec demandent que les promesses se réalisent pour les coeurs de villes et villages

Val-d’Or, le 6 février 2024 –  Alors que se terminent les consultations prébudgétaires, plus de 30 représentant.e.s de partout au Québec dont l’Outaouais, l’Estrie, le Saguenay, Abitibi-Témiscamingue et la Capitale-Nationale, insistent sur l’importance de concrétiser l’engagement de M. Legault de 470 millions de dollars destiné à assurer les services de proximité de nos cœurs de villes et villages. Les régions du Québec, comme les villes, sont confrontées à des défis majeurs dont l’itinérance, l’inflation, la concurrence des mégacentres commerciaux, le travail à distance ainsi que les crises d’habitation, de mobilité et le défi des changements climatiques. Devant ces enjeux de taille, des représentant.e.s des régions demandent au gouvernement d’inclure dans le budget du Québec 2024 des engagements assurant un avenir durable et prospère aux villes et villages.

« Le développement régional joue un rôle crucial dans la prospérité économique du Québec. Un soutien continu du gouvernement est indispensable pour la stimuler. Les solutions concrètes sont déjà identifiées et les municipalités sont prêtes à relever ce défi. Toutefois, elles ne disposent pas des ressources nécessaires pour le faire seules. Il est impératif que le gouvernement concrétise son engagement en accordant les moyens financiers nécessaires pour revitaliser nos cœurs de villes et villages dès le budget 2024. » précise Charles Milliard, Président-directeur général, Fédération des chambres de commerce du Québec

Rappelons que le Premier ministre a renouvelé cet engagement lors d’une allocution au congrès de la Fédération québécoise des municipalités (FQM) en septembre dernier.

Un soutien nécessaire pour la vitalité du vivre-ensemble au Québec

Depuis la pandémie, les cœurs de villes et villages de tout le Québec tentent de reprendre leur souffle et de préserver leurs centres vitaux. Seuls face à la détérioration des infrastructures et de leur patrimoine, il devient difficile d’assurer la qualité et la quantité des services de proximité. Ces joyaux québécois garantissent le vivre-ensemble et la prospérité de toutes les régions du Québec, autant au niveau culturel qu’économique.

« Les centres-villes jouent un rôle incontournable en tant que moteurs de développement économique et social pour l’ensemble de la population. Ils contribuent non seulement à la qualité de nos milieux de vie, mais aussi à la santé de l’économie québécoise. Nous souhaitons que le gouvernement saisisse l’occasion du budget 2024 pour leur donner les moyens d’offrir des services diversifiés, locaux et abordables. » affirme Hélène Paradis, Directrice générale, Chambre de commerce de Val-d’Or;

« En collaborant à la préservation de notre vitalité commerciale locale, le gouvernement renforcera l’attractivité de nos régions. Ce développement accroîtra le rayonnement de l’authenticité et de la singularité de nos magnifiques quartiers patrimoniaux, permettant à nos commerces de proximité d’offrir une gamme diversifiée de biens et de services locaux à des prix abordables. Des cœurs villageois vivants et en santés permettent aussi aux communautés locales de bénéficier de retombées économiques importantes »déclare Martine Chagnon, Directrice générale, Mon Quartier de Lévis;

« Nos centres-villes représentent fièrement la culture québécoise du vivre-ensemble qui nous distinguent de nos homologues d’Amérique du Nord. C’est cette identité collective qui se retrouve dans les noyaux de nos villes et villages. Lieux d’échanges exceptionnels, ils sont les témoins de notre histoire et porteurs de notre avenir. L’engagement de M. Legault est louable. On attend maintenant sa mise en œuvre. » souligne Julie Favreau, Directrice générale de Rues principales Coaticook

Un cri du coeur pour les villes et villages 

Rappelons qu’au Sommet Près du Cœur, le 8 novembre dernier, 11 organisations ont dévoilé une déclaration commune réclamant au gouvernement un plan d’action concret pour revitaliser les cœurs de villes et villages. Depuis, le nombre d’organismes signataires a plus que triplé passant à 36 organisations. Composée de 8 actions principales, cette déclaration appelle le gouvernement à aller au-delà des mesures circonscrites et à développer une vision globale pour l’avenir de nos centres-villes. 

« Si le nombre de signataires de la déclaration a triplé , c’est parce que les besoins sont réels. Des actions structurantes sont nécessaires pour garantir un avenir florissant au Québec tout entier. La vitalité de nos centres-villes est essentielle à la nôtre, c’est pourquoi un plan concret s’impose. Il est essentiel de combiner des investissements avec une stratégie plus vaste et à une échelle plus grande. » Jeanne Robin, directrice principale de Vivre en Ville.

Les représentant.e.s de partout au Québec derrière la démarche:

  • Action patrimoine – Renée Genest, Directrice générale
  • Association des commerçants de Tétreaultville – Viviane Caron, directrice générale
  • Espace centre-ville de Rivière-du-Loup – Laurie Dubé, Directrice
  • Espace MUNI – Isabelle Lizée, Directrice générale
  • Centre d’écologie urbaine – Véronique Fournier, Directrice générale
  • Chambre de commerce et d’industrie de Québec – Steeve Lavoie, Directeur général
  • Chambre de commerce et d’industrie de Drummond – Alexandra Houle, directrice générale
  • Chambre de commerce et d’industrie de Laval – Caroline de Guire, Directrice générale
  • Chambre de commerce de Val-d’Or – Hélène Paradis, Directrice générale
  • Chantier de l’économie sociale – Béatrice Alain, Directrice générale, Chantier de l’économie sociale
  • Commerce Tourisme Granby – Fanny-Ysa Breton, Codirectrice générale et responsable du développement commercial, 
  • Conseil régional de l’environnement Chaudière-Appalaches (CRECA) – Josée Breton, directrice générale
  • Développement Vaudreuil-Soulanges – Isabelle Mercier, Directrice générale 
  • Environnement Mauricie – Lauréanne Daneau, directrice générale
  • Fédération des chambres de commerce du Québec – Charles Milliard, Président-directeur général
  • Groupe d’intérêt en armature commerciale du Québec – Isabelle Mercier, Présidente
  • Institut du développement urbain – Isabelle Melançon, Présidente-directrice générale
  • L’Association des centres-villes de Chicoutimi – Marie-Ève Martel, Directrice générale 
  • MOBA – Elisabeth tremblay, Directrice générale
  • Mobili.T – Valérie Marcon, Directrice générale
  • MOBI-O – Patrick Robert-Meunier, Directeur général
  • Mon Quartier de Lévis – Martine Chagnon, Directrice générale
  • Movia – Aline Berthe, directrice générale  
  • Ordre des urbanistes du Québec – Sylvain Gariépy, Président
  • Piétons Québec – Sandrine Cabana-Degani, Directrice générale
  • Promotion Saguenay – Priscilla Nemey, Directrice générale
  • Roulons vert – Maude Hébert, Directrice générale
  • Rues principales – Christian Savard, Président exécutif
  • Rues Principales Coaticook – Julie Favreau, Directrice générale 
  • Rues principales Verchères – Véronique Dansereau, Directrice générale
  • SADC les Basques – Philippe Massé, Directeur général
  • UTILE – Laurent Levesque, Directeur général
  • Vision centre-ville Gatineau –  Daphnée Tapé, Directrice générale
  • Vivre en Ville – Jeanne Robin, Directrice principale

La CCVD et la FCCQ demandent d’appliquer un filtre « Régions et PME » au prochain budget

Val-d’Or, le 24 janvier 2024 – La Chambre de commerce de Val-d’Or appuie la démarche de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), qui publie aujourd’hui ses recommandations à l’intention du ministre des Finances du Québec, M. Éric Girard, en vue de l’élaboration du budget 2024-2025.

Le mémoire prébudgétaire de la FCCQ adressé au gouvernement du Québec, peut être consulté ici.

Parmi ses priorités pour 2024-2025, le gouvernement devrait prioriser l’allégement du fardeau fiscal des PME, la stimulation de l’investissement des entreprises et du repreneuriat, puis l’accroissement des efforts en matière de développement territorial et d’accès aux régions québécoises.

« Les prévisions économiques pour 2024, voire les années subséquentes, annoncent des défis importants pour nos PME et pour nos régions. Nous devons serrer les rangs et leur offrir le soutien nécessaire, en appliquant un ‘filtre régions’ à nos politiques publiques », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

Alléger le fardeau fiscal des PME pour les aider à traverser la tempête 

La FCCQ rappelle que l’inflation a été plus forte au Québec qu’ailleurs au Canada en 2023, et les pénuries de main-d’œuvre y sont plus marquées. Pour le milieu d’affaires québécois, le gouvernement devrait atténuer les impacts négatifs de la conjoncture actuelle par des mesures d’allégement fiscal. Le rehaussement du plafond des affaires de la Déduction pour petites entreprises de 500 000 $ à 1 M $, puis l’instauration d’une exonération de cotisation des employeurs au Fond des services de santé pour la première tranche de 1 M $ en masse salariale des PME, pourraient constituer des mesures hautement bénéfiques pour les entreprises.

Soutenir l’investissement des entreprises et le repreneuriat

La FCCQ et la CCVD plaident en faveur d’un déploiement plus rapide des 500 M$ sur cinq ans en capital de risque prévus dans la Stratégie québécoise de recherche et d’investissement en innovation (SQRI2). De manière à encourager la régionalisation des investissements, une part de ces fonds pourrait également être dédiée spécifiquement à la capitalisation de fonds privés établis à l’extérieur de la grande région de Montréal.

« Un soutien additionnel devra être aussi offert à nos repreneurs. La relève entrepreneuriale et le transfert d’entreprises sont des défis structurels dont l’importance croît d’année en année, et qui revêtent une importance particulière pour nos régions. Les besoins financiers pour y faire face sont conséquents, et le gouvernement peut et doit en faire plus », a conclu Charles Milliard.

L’accès aux régions demeure un frein au développement du Québec

La capacité d’investir des entreprises régionales dépend de la prévisibilité de leur accès à l’énergie et aux infrastructures. Le financement public de nouvelles lignes de transport d’électricité gagnerait ainsi à être renforcé, puis le Programme d’aide au développement du transport collectif, bonifié. Élargir le Programme d’accès aérien aux régions (PAAR) à toutes les liaisons régionales serait également porteur. « Pour l’économie de nos régions, l’accès à la main-d’œuvre et la capacité de la loger sont des défis majeurs. En 2024, le gouvernement devrait mieux arrimer l’immigration économique aux besoins et aux capacités d’intégration régionaux. Il faudrait aussi stimuler la mobilité interrégionale de la main-d’œuvre, en éliminant les barrières normatives qui la limitent, puis l’offre régionale de logements locatifs et en copropriété, en réduisant le nombre d’autorisations et les délais nécessaires pour construire », a poursuivi M. Milliard.

Le manque de logements et de garderies freinent le développement économique de nos régions

Neuf représentantes et représentants des ailes jeunesse et jeunes chambres de commerce du Québec en région unissent leurs voix pour mettre en lumière les conséquences désastreuses d’un manque persistant de logements abordables et de garderies accessibles. Ce manque d’infrastructures de proximité met en péril le développement économique du Québec et de ses régions.

Le Québec a besoin d’au moins 100 000 nouvelles unités de logement selon l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) 1et plus de 800 000 unités d’ici 2030 selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL2) pour rattraper son déficit structurel. Parallèlement, 35 000 enfants sont toujours en attente d’une place en garderie3. Enfin, l’abordabilité des logements est à son pire niveau depuis trois décennies.

Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, c’est un double défi pour permettre aux jeunes de nos régions d’y vivre convenablement sans avoir à partir. C’est un frein pour accueillir de nouveaux talents et leurs familles mais aussi pour se démarquer comme région et attirer des investissements en faveur de nos territoires.

L’attractivité économique des régions passe par un accès abordable au logement

Sur la Côte-Nord, dans Manicouagan, on fait le triste constat qu’il n’y a pas assez de nouveaux logements construits. Même son de cloche à Rivière-du-Loup dans le Bas-Saint-Laurent où les taux d’intérêt élevés rendent difficile l’accès à la propriété. En Abitibi-Témiscamingue, Val d’Or met l’accent sur le manque de logement qui freine la capacité d’accueil de la main-d’œuvre et par conséquent, sa productivité et sa croissance. Selon les données publiées par la Société canadienne d’hypothèques et de logement, le taux d’inoccupation est passé de 2,5 en 2021 à 1,7 en 2022. Multipliée à la hausse des prix des matériaux, la situation demeure critique et des incitatifs sont nécessaires pour encourager la construction de logements.

Le manque de garderie a des conséquences directes sur le développement des entreprises

De Rouyn-Noranda à Baie-Comeau, de Trois-Rivières à Victoriaville, on constate que les délais de retour au travail, après un congé parental, s’allongent. La majorité des jeunes parents ne trouvent pas de services de garde dans leurs régions. En Mauricie, la profession d’éducatrice est l’un des emplois cités parmi les plus en besoin. Cette situation a un impact significatif sur la productivité des entreprises et sur la conciliation travail-famille des parents sur le marché du travail. Le RJCCQ a publié en février un livre blanc 4dans lequel il recommande de miser davantage sur la formation de personnel en garderie, au-delà de la création de nouvelles places.

Les jeunes générations aspirent à de nouvelles perspectives

42% des jeunes urbains envisageraient quitter la ville pour aller habiter en région si leur milieu de travail autorisait le télétravail en tout temps, selon le sondage Travaillons ensemble réalisé par Léger pour le RJCCQ. Nos régions risquent de se priver de l’arrivée de ces talents et de leur potentiel si nous n’avons pas de services de proximité à leur offrir.

Comment convaincre des entreprises de venir s’installer dans nos régions si nous ne sommes pas capables de loger leur personnel ? Comment assurer la rétention de nos talents et le développement de leurs projets d’entreprises en régions ? Comment encourager la mobilité interrégionale et soutenir la conciliation famille-travail ?

En région, plus qu’ailleurs, tous les enjeux sont interreliés. Les entreprises se doivent d’être productives, et en raison du manque de garderies, qui s’ajoute aux défis de main-d’œuvre déjà bien présents, plusieurs sont freinées dans leur croissance. De plus, avec la hausse des coûts de construction, la crise du logement constitue une menace significative pour la possibilité de se loger dignement mais aussi pour permettre l’accès à la propriété des générations futures.

Il est essentiel d’adopter une approche coordonnée de la politique du logement et de la mise en places de garderie pour bâtir de lieux de vie propice à un développement économique harmonieux. Encourager la création de garderies intégrées au sein des entreprises via des subventions devrait être une priorité afin d’enrayer le problème.

Avec le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec (RJCCQ), nous souhaitons appuyer les démarches locales de nos municipalités et décideurs publics. Nous pouvons leur donner le pouls et les idées de solution des jeunes gens d’affaires qui entreprennent, travaillent et vivent dans nos régions.

UNE RÉUSSITE POUR LA 15E ÉDITION DU COLLOQUE RH

Val-d’Or, le 8 novembre 2023. – C’est sous le thème Prendre le temps que le colloque RH, organisé par le Comité de gestion des ressources humaines de la Vallée-de-l’Or, s’est déroulé à l’Hôtel Forestel. Le colloque RH avait pour objectif de mettre à jour les compétences des gestionnaires et professionnels en matière de gestion des ressources humaines. Avec près de 300 participantes et participants, la Chambre de commerce de Val-d’Or, mandatée pour coordonner ce rendez-vous depuis 2015, témoigne de la réussite de l’événement. L’événement a été rendu possible grâce à la participation financière du gouvernement du Québec.

« Les gestionnaires et professionnels en gestion des ressources humaines sont confrontés à de multiples défis au travail. Nous le savons, le contexte de pénurie de main-d’œuvre qui se vit actuellement à la grandeur de notre province accélère le quotidien des employeurs. Que l’on parle de recrutement, d’intégration ou de rétention, jongler avec son horaire pour répondre aux besoins de ses employés n’est pas une tâche évidente. C’est pourquoi nous voulions les inviter à prendre le temps de venir s’outiller que ce soit au niveau de l’esprit d’équipe, de la motivation ou de la performance pour optimiser leur quotidien. », explique Mme Hélène Paradis, directrice générale de la Chambre de commerce de Val-d’Or.

Prendre le temps

En ouverture du colloque, M. André Lachance, conférencier, a abordé le sujet de la sécurité psychologique en milieu de travail. Plus précisément, il s’est penché sur comment se traduit ce sentiment au quotidien, autant du côté de l’équipe que du gestionnaire, et comment miser sur ce dernier pour propulser ses résultats en entreprise.

Par la suite, une pause-café a permis aux participantes et participants de réseauter et de découvrir les kiosques d’une dizaine organismes et partenaires qui offrent des services et du support aux entreprises vivant des défis RH en région.

M. Jacques Forest, psychologue et CRHA, a poursuivi avec la conférence « Rétroaction et reconnaissance au quotidien ». Ses multiples recherches utilisent la théorie de l’autodétermination pour tenter de savoir comment il est possible de concilier performance et bien-être de façon durable. C’est dans cette optique qu’il a présenté les caractéristiques et les habiletés qui permettent une rétroaction optimale, crédible et authentique afin de l’utiliser comme un puissant levier de gestion.

Au retour du dîner, Mme Sophie Germain-Lacroix, ergothérapeute spécialisée en santé mentale, a pris la parole pour partager comment naviguer les déséquilibres du quotidien sans s’épuiser, tant dans la vie personnelle que professionnelle.

Finalement, c’est Mme Isabelle Touati, formatrice et consultante, qui a clôturé la journée de conférence en abordant la notion de ralentir pour mieux gérer en entreprise. Mme Touati a initié les participantes et participants au concept du slow management et à l’impact positif qui en découle.

À propos du comité en gestion des ressources humaines

Actif depuis 2007, le comité organise plusieurs activités, dont l’une des principales étant le Colloque RH, afin de permettre aux responsables des ressources humaines de parfaire leurs connaissances et d’améliorer la performance de leurs employés. Il a également pour mandat de faciliter le réseautage entre les professionnels sur le territoire de la Vallée-de-l’Or.

Accueil des travailleuses et travailleurs issus de l’immigration – Un guide des bonnes pratiques pour outiller les employeurs

Val-d’Or, le 6 novembre 2023 – La Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) lance aujourd’hui un tout nouveau Guide des bonnes pratiques à l’intention des employeurs qui accueillent des travailleuses et des travailleurs issus de l’immigration. Conçu pour accompagner les organisations dans leur volonté de construire un environnement de travail ouvert à la diversité, ce guide se veut un outil et un aide-mémoire qui met en lumière les meilleures pratiques pour être un employeur engagé, inclusif et accueillant.
Cette initiative a été possible grâce à une aide financière accordée en 2021 par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) dans le cadre du Programme d’appui aux collectivités (PAC). Ce soutien financier, qui s’échelonne sur trois ans, répond à plusieurs objectifs liés à l’accueil et l’intégration durable des personnes immigrantes au sein de la communauté.
« C’est avec une grande fierté que je salue l’initiative de la Chambre de commerce de Val-d’Or pour la création de ce Guide des bonnes pratiques destiné aux employeurs accueillant des travailleuses et travailleurs issus de l’immigration. L’accueil des nouveaux arrivants est un pilier fondamental de notre société québécoise, et ce guide offre des outils précieux aux employeurs pour favoriser une intégration harmonieuse et réussie. Par l’adoption de ces bonnes pratiques, nous renforçons notre engagement envers la diversité et l’inclusion, pour construire ainsi, un avenir où chaque individu, peu importe son origine, a la possibilité de contribuer pleinement et de s’épanouir dans notre communauté québécoise. »
Christine Fréchette,
Ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration

Le Guide des bonnes pratiques
Le Guide des bonnes pratiques a été développé initialement par la Société de développement de Drummondville puis mis à jour par la CCVD pour le territoire de Val-d’Or. Le document de 41 pages aborde divers éléments relatifs à l’accueil de travailleuses et travailleurs issus de l’immigration tels que de l’aide au recrutement, la gestion des dossiers d’immigration, la préparation à l’arrivé, l’accueil et l’installation sur le territoire, la formation de la personne ainsi que l’inclusion et l’établissement durable.
« Avec les défis main-d’oeuvre que nous connaissons, nous observons de plus en plus d’organisations avec des équipes de travail diversifiées et inclusives. Les personnes immigrantes qui choisissent de s’installer à Val-d’Or pour y occuper un emploi doivent aussi se créer de tout nouveaux repères dans une communauté qu’elle apprenne à découvrir. Naturellement, les employeurs ont donc un rôle majeur à jouer dans l’accueil et l’accompagnement de ces nouvelles ressources puisque l’enracinement d’une personne passe d’abord par le milieu de travail. Avec ce guide, nous visons à outiller les employeurs pour qu’ils soient bien préparés à accueillir des travailleuses et travailleurs issus de l’immigration, mais surtout qu’ils adoptent dès le départ de bonnes pratiques. »
Valérie Gourde,
Présidente de la CCVD.

En plus d’être disponible en version papier à la CCVD, il est possible de consulter le guide en ligne.

LA CCVD, BRANCHÉS SUR VOS SUCCÈS POUR UNE 44e ÉDITION DU GALA DE L’ENTREPRISE

Val-d’Or, le 3 novembre 2023 – La Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) a procédé au lancement officiel de la 44e édition du Gala de l’Entreprise : Branchés sur vos succès. Les entreprises sont invitées à soumettre dès maintenant leur candidature dans l’une ou plusieurs des 15 catégories, et ce, jusqu’au lundi 22 janvier 2024. Les lauréats seront dévoilés lors de la prestigieuse soirée du Gala de l’Entreprise qui se tiendra le 20 avril prochain.

Mise en candidature

« Le Gala est un événement qui nous rappelle la force d’un réseau connecté, d’un réseau branché. Nous voulons faire briller chaque réussite, autant les plus petites que les plus grandes, de notre communauté d’affaires. Cette 44e édition mettra donc en évidence les succès des entreprises de Val-d’Or de la dernière année. » affirme Hélène Paradis, directrice générale de la Chambre de commerce.

« Nous rappelons que tous les types d’entreprises peuvent trouver une catégorie parmi les 15, où se démarquer. Certaines du lot ont même été mises à jour afin de suivre la réalité actuelle de notre communauté entrepreneuriale. Les inscriptions sont à la portée de tous et nous vous encourageons fortement à postuler. Se démarque, rester compétitif et surtout pour la fierté des accomplissements réalisés, les retombées d’acquérir un Filon sont nombreuses. » poursuit madame Paradis.

Dès la fin janvier, un comité Jury entièrement indépendant de la CCVD procédera à l’analyse des dossiers de candidatures et se réunira pour délibérations afin d’identifier les finalistes et les lauréats de cette 44e édition.

La thématique

Le lancement officiel de cette célébration, présidée par Annie Gauthier pour une 3e année consécutive, fut également l’occasion de dévoiler la thématique Branchés sur vos succès. « Avec cette thématique, nous voulons mettre en lumière les réussites des petites, moyennes et grandes entreprises, dans une soirée tout en intensité. La communauté d’affaires, c’est un puissant réseau de connexions, de synergie et d’innovation qui alimente notre territoire. Grâce à l’apport de tous et chacun, à travers nos hauts et nos bas, nous formons une force vive capable de créer, de surmonter les défis et de triompher. Joignez-vous à nous le 20 avril prochain pour attiser les flammes entrepreneuriales et créer une onde de fierté dans une soirée électrisante! » explique Mme Gauthier.

Comment participer

Les cahiers de candidature sont disponibles via le site web de la Chambre de commerce, au www.ccvd.qc.ca, sous l’onglet « Gala de l’Entreprise – Poser sa candidature ». La Chambre de commerce offre gratuitement, aux entreprises qui le souhaitent, l’aide d’une personne-ressource pour remplir leur cahier de candidature. Pour toute information supplémentaire, les entreprises sont invitées à communiquer avec nous par courriel à edumas@ccvd.qc.ca ou par téléphone au 819 825-3703. Les cahiers de candidature doivent être déposés avant le 22 janvier 2023, 16h.

À propos de la CCVD

La Chambre de commerce de Val-d’Or est un organisme à but non lucratif qui compte près de 1 150 délégués actifs au sein de la communauté d’affaires. Ayant pour mission de promouvoir le développement socioéconomique, la CCVD agit comme partenaire mobilisateur, porte-parole et défenseur des entreprises de son territoire.

Lancement Colloque RH

15e édition du Colloque RH : Prendre le temps

Val-d’Or, le 2 octobre 2023. – Le Colloque RH, organisé par le Comité de gestion des ressources humaines de la Vallée-de-l’Or, revient pour une 15e édition sous le thème Prendre le temps. Après avoir exploré des formules différentes dans les dernières années, l’événement sera de retour le 8 novembre pour une journée entière de formation à l’Hôtel Forestel.  Le Comité convie les gestionnaires et professionnels des ressources humaines à ce grand rendez-vous qui leur permet de mettre à jour leurs connaissances et de développer leurs compétences. L’événement a été rendu possible grâce à la participation financière du gouvernement du Québec. Depuis 2015, la Chambre de commerce de Val-d’Or est mandatée afin de coordonner le Colloque. Le Colloque RH répond comme chaque année à un besoin concret sur le terrain.

« Notre gouvernement tient à soutenir des événements comme le Colloque RH de Val-d’Or, qui vise à aider les entreprises de la région à se démarquer et à relever les défis liés à la main-d’œuvre. Si on mise sur le partage d’outils pour la gestion des ressources humaines et sur la formation, tant les entreprises que les travailleurs et travailleuses de la région seront gagnants. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour souligner l’excellent travail des équipes qui se sont consacrées à ce projet et je souhaite à tous et à toutes un bon colloque! », exprime Pierre Dufour, député d’Abitibi-Est.

« La thématique de cette année fait référence au contexte actuel et aux enjeux soulevés par les employeurs. On sait que les défis sont grands lorsqu’il est question de recrutement, d’intégration et de rétention de la main-d’œuvre. Notre objectif est d’outiller les superviseurs, les gestionnaires et les chefs d’équipe, que ce soit au niveau de l’esprit d’équipe, de la motivation ou de la performance. C’est une invitation à prendre le temps de venir se former avec nous lors de cette journée, mais également à prendre le temps d’instaurer de bonnes pratiques au quotidien dans leur entreprise. » explique Mme Hélène Paradis, directrice générale de la Chambre de commerce de Val-d’Or.

Prendre le temps

Dès 8 h 30, les participants pourront entendre M. André Lachance, conférencier, professeur universitaire et entraîneur de renommée mondiale au sujet de la sécurité psychologique. La recherche ayant démontré que les équipes qui se sentent en sécurité s’engagent mieux et sont plus performantes, cette présentation permettra de découvrir l’ingrédient manquant afin de propulser leur équipe vers le niveau supérieur!

Après une pause-café qui sera l’occasion de réseauter avec d’autres professionnels, M. Jacques Forest enchaînera en abordant la rétroaction et la reconnaissance au quotidien.  Psychologue, professeur titulaire à l’ESG UQAM et auteur reconnu pour ses nombreux écrits au sujet de la motivation, il offrira des outils afin de parfaire le processus de rétroactionet l’utilisation de celui-ci comme un puissant levier de gestion.

En après-midi, Mme Isabelle Touati, formatrice et consultante sénior du Réseau Annie RH, présentera l’atelier Ralentir pour gérer mieux avec l’objectif de s’initier au concept du Slow Management et de s’outiller pour faire différemment dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre. Quels sont les critères pour faire de nouveaux choix et humaniser nos approches? Quel est l’impact positif sur nos résultats? À go, on ralentit!

Pour tous les détails et inscriptions, les participants peuvent se rendre au www.colloquerh.ca

À propos du Comité de gestion des ressources humaines de la Vallée-de-l’Or Actif depuis 2007, le comité organise plusieurs activités, dont l’une des principales étant le Colloque RH, afin de permettre aux responsables des ressources humaines de parfaire leurs connaissances et d’améliorer la performance de leurs employés.  Il a également pour mandat de faciliter le réseautage entre les professionnels sur le territoire de la Vallée-de-l’Or.

Sur la photo, de gauche à droite : Hélène Paradis, directrice de la Chambre de commerce de Val-d’Or, Marc-André St-Pierre et Sonia Picard, membres du Comité de gestion des ressources humaines de la Vallée-de-l’Or et Geneviève Mattson, directrice des bureaux de Val-d’Or et Senneterre de Services Québec

Un premier bilan positif pour Les avenues d’la 3

Val-d’Or, le 29 septembre 2023 – Après avoir lancé le mouvement Les avenues d’la 3 en mai dernier et rassemblé de nombreuses initiatives prenant place au centre-ville tout au long de la saison estivale, les partenaires en dressent un premier bilan positif. C’est plus de 3 500 personnes qui ont eu l’occasion de participer à une douzaine d’activités proposées afin d’inciter les citoyennes et citoyens à fréquenter ce secteur.

Le mouvement porté par la Ville de Val-d’Or et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) en collaboration avec le Regroupement des gens d’Affaires du Centre-Ville Val-d’Or (RGACVVD) vise à rassembler des actions positives afin de faire rayonner le cœur de la communauté valdorienne et d’améliorer son attractivité.

« Les différentes animations représentaient de belles opportunités de fréquenter le centre-ville et on se réjouit de la réponse de la population. Le retour du déambulatoire Pirates Recherchés a sans contredit été la proposition qui a le plus attiré l’attention cette année, puisque près de 2 000 personnes ont pu profiter de cet événement gratuit et rassembleur. La population a aussi été charmée par les Fêtes de Ruelles qui ont été mises sur pied afin de dynamiser le secteur qui était directement impacté par les travaux de la phase 3. » mentionne Mme Céline Brindamour, mairesse de Val-d’Or.

Ces événements se sont ajoutés à diverses initiatives prévues afin de soutenir l’achat local, tels que le dévoilement d’une première série d’ambassadeurs, la campagne de cartes-cadeaux bonifiées de la CCVD, – qui se sont écoulées en moins de 24h – la traditionnelle vente-trottoir et le concours « Oubliez les travaux » coordonnés par le RGACVVD.

« Les derniers mois nous ont également permis de voir des actions et des résultats concrets chez plusieurs commerçants qui ont reçu gratuitement de l’accompagnement personnalisé par M. Daniel Tanguay de Détail Formation. Que ce soit au niveau de l’affichage, du service à la clientèle ou du marchandisage, chacun a pu travailler à ce qu’il jugeait prioritaire et recevoir des conseils afin de diminuer les impacts ressentis par la présence d’un chantier à proximité. Il s’agit d’un soutien direct qui a été grandement apprécié par les entreprises. » poursuit Mme Valérie Gourde, présidente de la CCVD.

L’été a également été marqué par des initiatives du milieu et d’entreprises qui ont contribué à enjoliver et égayer le secteur, que ce soit par des rénovations en façade, l’ajout de fresques ou l’organisation d’événements rassembleurs. Nous avons ainsi pu voir le centre-ville afficher les couleurs du mouvement de différentes façons, également grâce aux décalques pour les vitrines, la peinture de certains murs ou la signalisation sur le chantier.

Les travaux de la phase 3 ayant été finalisés près d’un mois plus tôt que prévu, l’installation de nouvelles structures d’embellissement dans ce secteur débutera dans les prochaines semaines. Celles-ci donneront un avant-goût du projet d’aménagement d’un parcours d’ambiance qui sera déployé à partir de l’été 2024.

Rappelons que la démarche se veut évolutive et inclusive; d’autres activités et propositions continueront de s’ajouter dans les mois à venir et les organisations sont invitées à faire preuve de créativité et à se joindre au mouvement pour faire rayonner notre centre-ville à leur manière, et ce, durant les quatre saisons. 

Les chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue boycotteront Meta

Abitibi-Témiscamingue, le 13 septembre 2023 – Les chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue répondent à l’appel de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) et procéderont à une action de boycottage de la plateforme Meta le 15 septembre prochain. Les chambres de commerce demandent à l’ensemble de leurs membres d’emboiter le pas et collectivement, se joindre à la mobilisation.

Concrètement, cela implique de ne rien publier ni même d’ouvrir les applications de Facebook et Instagram pendant vingt-quatre heures. Rappelons que la Loi sur les nouvelles en ligne (C-18) qui doit entrer en vigueur en décembre prochain obligera les géants du web à verser une redevance aux médias lorsque leur contenu est diffusé sur leurs plateformes. En réponse à cette loi, depuis le 1er août 2023, Meta bloque les contenus d’actualité en provenance des médias canadiens, de manière à ne pas avoir à leur verser de compensation.

En plus de dénoncer cette tentative d’intimidation et de chantage économique, les chambres de commerce de l’Abitibi-Témiscamingue soulignent l’importance des médias régionaux dans la collectivité. Particulièrement dans une région éloignée comme la nôtre, très peu représentée dans l’espace médiatique national, les médias régionaux jouent un rôle crucial dans notre identité. Reflet de qui nous sommes, les journalistes permettent de faire valoir nos enjeux de développement et d’informer les citoyens des initiatives qui prennent place sur notre territoire, en plus de maintenir une vitalité démocratique. Le 15 septembre correspond d’ailleurs à la Journée internationale de la démocratie, faisant écho à l’importance de protéger l’information pour protéger la démocratie. Les chambres de commerce invitent donc la communauté d’affaires à délaisser les plateformes de Meta vendredi prochain, mais surtout, à poser des gestes concrets pour démontrer leur soutien aux médias. Afin de demeurer informé, téléchargez les applications de nouvelles, assurez-vous d’activer les alertes des sites web d’actualité régionale et locale et d’ajouter leur page d’accueil à vos favoris, et abonnez-vous à l’infolettre d’un média local. Nous vous encourageons aussi à prioriser les médias traditionnels face aux géants du Web, tant pour consulter du contenu d’actualité que pour vos placements publicitaires.