Fabrique ton mode de vie

Une première campagne de recrutement pilotée par les Chambres de commerce de la région pour une meilleure offre en services de garde en milieu familial

Abitibi-Témiscamingue, 22 juin 2021 – Face aux réels effets du manque de places disponibles en services de garde éducatifs à l’enfance quant à l’enjeu de plus en plus préoccupant qu’est la pénurie de main-d’œuvre, les Chambres de commerce de l’Abitibi, en partenariat avec les bureaux coordonnateurs des services de garde de la région, lancent aujourd’hui une première campagne de recrutement et de valorisation de la profession de responsables de garde en milieu familial.

Ainsi, la campagne qui se tiendra sous le thème « Fabrique ton mode de vie avec les tout-petits » se déploiera en région dans les prochaines semaines.

Les Chambres de commerce s’unissent pour promouvoir la profession

La campagne nous permettra de découvrir une série de vidéos mettant de l’avant des femmes et des hommes occupant diverses fonctions au sein des services de garde éducatifs à l’enfance et particulièrement ceux évoluant en milieu familial. L’objectif étant de démontrer la passion qui les anime et leurs motivations au quotidien. En devenant les têtes d’affiche de cette campagne, ils deviendront également des ambassadeurs naturels sur le terrain.

« Les responsables de service de garde en milieu familial actuels, ainsi que les nouveaux qui nous l’espérons s’y joindront sous peu, permettront à de nombreux professionnels de la région de retourner au travail en sachant leurs enfants accompagnés dans le développement de leur plein potentiel. C’est avec grande fierté que ces femmes et ces hommes peuvent déjà dire haut et fort qu’ils jouent un rôle essentiel dans le développement de notre région; nous les en remercions. » Me Mariane Michaud, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie du Centre-Abitibi.

Un enjeu central d’attractivité et de rétention

Pour nos entreprises, en processus perpétuel de recrutement et de rétention de la main-d’œuvre, les places en services de garde sont une des pierres angulaires de la solution. Alors que notre économie est en plein essor, cette problématique contribue à freiner le développement de nos collectivités. Unis pour trouver des solutions concrètes et pouvant être mises en place à court terme, tous les organismes socioéconomiques locaux ont à se mobiliser autour de ces enjeux.

« Le défi de la conciliation travail-famille pour les entreprises est un enjeu de plus en plus criant et le manque de places en services de garde vient rendre la tâche encore plus difficile pour le personnel et les gestionnaires. » ajoute monsieur Patrick Perreault, président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest.

Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes

Les chiffres à ce tableau viennent démontrer hors de tout doute l’ampleur du défi à relever. Il affiche concrètement le nombre de places disponibles qui attendent d’être distribuées à des responsables de garde en milieu familial pour le territoire. Au total, c’est près de 900 enfants et leurs familles qui attendent une place en services de garde éducatifs à l’enfant, en milieu familial.  Venant appuyer ces chiffres, la Vérificatrice générale du Québec soulignait à l’automne 2020 que « l’offre actuelle de places subventionnées en service de garde éducatifs à l’enfance était insuffisante pour répondre aux besoins des familles ».

MRCNombre de places à distribuerNombre de places disponibles
Abitibi-Ouest220382
Centre-Abitibi275443
Rouyn-Noranda300648
Vallée-de-l’Or272492

Monsieur Jérémi Fournier, président de la Chambre de commerce de Val-d’Or : « Nous le savons, la main-d’œuvre est déjà un grand défi pour nos membres et particulièrement ces dernières années, les enjeux en lien avec les garderies sont venus exacerber la pénurie. Ça constitue un réel frein à la croissance et à la compétitivité de nos entreprises, en plus de nuire à notre attractivité. Nous clamons que nous sommes une région d’opportunités, nous travaillons à attirer des familles ici et à retenir nos jeunes professionnels, il nous parait essentiel de pouvoir à tout le moins leur offrir des places en garderie pour leurs enfants ».

Des incitatifs financiers pour faire une différence concrète

Le 3 juin dernier, le ministre de la Famille, M. Mathieu Lacombe annonçait une série de nouvelles mesures qui auront certainement un impact positif sur le recrutement. Ces mesures visent à accélérer le développement de l’offre en milieu familial; tout en favorisant le maintien des services actuellement existants. Vous trouverez les détails de cette annonce ici.

 « Avec les nombreux projets miniers qui se concrétisent sur notre territoire qui requerront des milliers d’emplois, jumelé à un déficit du taux de remplacement de 45 % à chaque année, la situation est alarmante pour l’Abitibi-Témiscamingue. Il est rassurant de prendre connaissance des mesures que le gouvernement est à mettre en place pour soutenir l’économie de notre région », affirme en terminant le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Rouyn-Noranda, M. David Lecours.

Cette campagne souhaite inciter des femmes et des hommes à se laisser tenter par l’aventure. Avec ces nombreux incitatifs financiers et organisationnels mis en place, l’opportunité de démarrer leur entreprise et l’assurance d’un revenu décent dans des conditions gagnantes, gageons que cette campagne relèvera son pari et permettra la création de nouvelles installations de services de garde en milieu familial.

Pour plus d’informations concernant l’ouverture d’un service de garde en milieu familial dans la Vallée-de-l’Or :
Bureau Coordonnateur Vallée des loupiots
615 avenue Centrale, Suite 201, Val-d’Or, Québec, J9P 1P9
819 825-2260 poste 222
myriam.pilote@valleedesloupiots.ca

Une année de résilience, de persévérance et de solidarité

Val-d’Or, le 14 juin 2021 – La Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) a tenu son assemblée générale annuelle le 14 juin dernier, afin de faire le bilan de l’année 2020-2021. Ce fût également l’occasion de dévoiler le conseil d’administration 2021-2022, qui sera présidé pour un troisième mandat par M. Jérémi Fournier.

Administrateur de la CCVD depuis 2014, M. Jérémi Fournier a une fois de plus eu la confiance du conseil d’administration pour agir à titre de président. « Nous avons de beaux projets sur la table pour les prochains mois, tout comme plusieurs enjeux qui méritent qu’on leur porte notre attention. Je suis donc heureux de renouveler mon engagement envers la Chambre de commerce et poursuivre le travail amorcé dans tous ces dossiers. Je tiens aussi à rappeler aux membres de ne pas hésiter à communiquer avec nous, que ce soit pour des commentaires, des suggestions ou des défis que vous rencontrez. Vous êtes la raison d’être de la Chambre de commerce et c’est pourquoi nous sommes entièrement à votre écoute. » déclare M. Fournier.

Le président sera appuyé au sein du conseil exécutif par Mme Valérie Gourde à titre de 1ère vice-présidente, M. Simon Bertrand à titre de 2e vice-président et M. Mario Thouin à titre de secrétaire-trésorier.

Bilan de l’année 2020-2021

L’année 2020-2021 fut marquée par la résilience et la persévérance pour l’ensemble de la communauté d’affaires. Alors que la CCVD se veut un lieu privilégié de rencontres, l’équipe a travaillé très fort à maintenir cette connexion, malgré la distanciation. Elle a tenté d’outiller et d’accompagner les entreprises dans leurs défis, notamment via de nombreuses formations en ligne. La CCVD a aussi maintenu son rôle comme réseau de communication, notamment via sa page Facebook, son site Web et son infolettre hebdomadaire.

En parallèle, la CCVD a continué de se mobiliser sur divers enjeux socioéconomiques, notamment le dossier de main-d’œuvre, qui demeure central dans le développement et la prospérité des entreprises. Le manque de places en services de garde de même que les logements et le transport aérien ont également été au cœur des préoccupations et des actions politiques menées par la CCVD.

Parmi les faits marquants des douze derniers mois, mentionnons la 40e édition du Gala de l’Entreprise, qui a réuni les convives dans deux lieux différents en plus d’être webdiffusée en direct. La CCVD a aussi participé à deux campagnes promotionnelles visant à sensibiliser les consommateurs à l’achat local. Finalement, elle a aussi offert à ses membres la certification en leadership et habiletés de direction. Ce programme élite a permis à 50 entrepreneurs, gestionnaires et professionnels-cadres de la région de développer des méthodes pour mobiliser les équipes, régler les conflits et relever les défis auxquels leur propre organisation est confrontée.

Le conseil d’administration 2021-2022
Conseil exécutif

Jérémi Fournier, président, président de L. Fournier et fils

Valérie Gourde, 1ère vice-présidente, surintendante communications stratégiques et relations avec le milieu chez Eldorado Gold Québec

Simon Bertrand, 2e vice-président, directeur des ressources humaines chez Meglab

Mario Thouin, secrétaire-trésorier, associé du bureau de Val-d’Or de Raymond Chabot Grant Thornton

Administrateurs

Jean-Philippe Allard, président de la Papeterie commerciale de Val-d’Or

Serge Blais, vice-président Opérations Partenariat Canadian Malartic

Sylvain Côté, directeur régional Val-d’Or chez Uniboard Canada

Nancy Désaulniers, notaire associée chez Cain Lamarre

Annie Gauthier, franchisée du St-Hubert de Val-d’Or

Philippe Lord, président de la Microbrasserie Le Prospecteur

Gérard Paquin, président de l’Hôtel Continental Centre-Ville et Complexe 93

Sébastien Richard, président de Paysage Boréal

Pamela Papatie, Vice-Chef au Conseil de la Nation Anishnabe du Lac Simon, administratrice observatrice 

Tanya Pash, chef des opérations chez Air Creebec, administratrice observatrice.

À Propos de la CCVD

La Chambre de commerce de Val-d’Or est un organisme à but non lucratif qui compte plus de 1 080 délégués actifs au sein de la communauté d’affaires. Ayant pour mission de promouvoir le développement socioéconomique, la CCVD agit comme partenaire mobilisateur, porte-parole et défenseur des entreprises de son territoire.

Prix Jean-Paul Létourneau- Leadership

Val-d’Or, 21 mai 2021 – La directrice générale de la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD), Mme Hélène Paradis, s’est vu décerner hier soir le prix Jean-Paul Létourneau dans la catégorie Leadership, remis par la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ). Remis dans le cadre du Gala des chambres de commerce du Québec, diffusé cette année en virtuel, ce prix est attribué à un(e) dirigeant(e) de chambre de commerce qui se démarque particulièrement par son implication dans sa communauté et dans l’ensemble du réseau des chambres de commerce.

10 ans d’accomplissements

Mme Paradis fête cette année ses 10 ans à la tête de la CCVD et, au cours de ces années, l’organisme a connu une expansion marquée. Dès son arrivée en poste, elle a insufflé un vent de fraicheur avec une augmentation du nombre de membres et d’activités, le déménagement des locaux, une nouvelle image corporative, l’agrandissement de l’équipe et la mise sur pied de nombreuses initiatives notamment la création d’un comité Jeunesse.

Au cours de la dernière année, elle a fait preuve de beaucoup de proactivité pour appuyer les entreprises d’ici. C’est ainsi qu’elle a rapidement mis en place au début de la pandémie la recension et la création d’une réserve d’équipement de protection individuel (EPI) en collaboration avec la MRC de La Vallée-de-l’Or. En partenariat avec la Ville de Val-d’Or et l’ensemble des médias locaux, elle a aussi créé la campagne publicitaire « On est toujours là! » qui met de l’avant l’achat local. Elle a aussi fait preuve de beaucoup d’audace pour adapter les activités de la CCVD, allant même jusqu’à tenir son gala annuel diffusé en simultané dans deux emplacements différents, en plus d’être retransmis en direct sur le Web.

Une alliée du développement socioéconomique

Par sa nature rassembleuse, elle se distingue comme une alliée dynamique et un soutien important à la communauté d’affaires. Mme Paradis agit de telle sorte que non seulement notre chambre de commerce connait des succès remarquables, c’est aussi tout notre milieu qui en ressort gagnant.

« Au cours des 10 dernières années, nous avons eu la chance de voir Mme Paradis évoluer au sein de la CCVD et surtout de constater à quel point sa détermination, son entrain et son savoir-faire font d’elle un exemple de leadership. Dès son arrivée à la CCVD, elle a su mobiliser les troupes, rallier ses pairs et apporter une plus-value à l’organisme. Elle est définitivement une ressource importante pour Val-d’Or et pour l’Abitibi-Témiscamingue et nous sommes fiers que par cette reconnaissance, elle fasse une fois de plus rayonner notre territoire » affirme Jérémi Fournier, président de la CCVD.

Une chef d’équipe appréciée

C’est pour souligner son 10e anniversaire à sa juste valeur que son équipe a eu l’idée de déposer sa candidature et lui offrir ce bel honneur qu’est le prix de leadership Jean-Paul Létourneau. Mentionnons d’ailleurs que dans le contexte que nous connaissons avec la main-d’œuvre, ça relève pratiquement de l’exploit d’avoir su créer un noyau aussi solide à la permanence.

« C’est parce qu’elle nous motive et qu’elle croit en nous que nous pouvons contribuer à autant de belles initiatives et, avec grande fierté, faire la différence dans notre milieu. Au fil des ans, c’est grâce à son positivisme contagieux et sa confiance inébranlable envers nos capacités que nous avons appris à nous dépasser en tant qu’équipe. Hélène ne s’assoit jamais sur ses lauriers et nous ne faisons que la suivre, à la seule vitesse qu’elle connait : à 100 miles à l’heure! » mentionnent ses employées.

« Je suis très touchée par cet honneur, que je partage évidemment avec l’ensemble de mon équipe, tant les permanents que les membres du conseil d’administration. Je veux aussi remercier nos partenaires, qui répondent toujours présents et qui croient en nos capacités, et bien sûr la FCCQ de nous offrir des projets stimulants et des outils pour faire croitre et rayonner notre communauté d’affaires. Mais surtout, je tiens à remercier nos membres. La force et la réputation de notre chambre de commerce passent par vous, par votre engagement et votre dynamisme. Merci de votre confiance depuis 10 ans! » déclare Hélène Paradis.  

Entrepreneurs, jeunes et audacieux

Val-d’Or, le 18 mai 2021– Grâce au support du Conseil territorial jeunesse d’Abitibi-Est, qui a remis 5 bourses héritage en mars dernier afin de souligner la fin de ses activités, le comité Jeunesse de la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) lance la campagne Entrepreneurs, jeunes et audacieux mettant en vedette 5 entrepreneurs de la Vallée-de-l’Or.

La campagne se veut un outil de valorisation de l’entrepreneuriat jeunesse, mais également une occasion de démontrer l’audace et la force de notre jeune communauté d’affaires. “Les jeunes entrepreneurs d’ici ne cessent de nous étonner, ils bouillonnent d’idées et rien ne les arrête! Cette campagne est l’occasion de leur offrir une visibilité et de souligner leur travail, sachant que la situation particulière que nous traversons vient avec son lot de défis.” explique Valérie Gourde, 1ere vice-présidente de la CCVD et responsable du comité Jeunesse.

Le visuel, réalisé par Loula Création avec les photos de Marie-Claude Robert, sera partagé de façon hebdomadaire via l’infolettre de la CCVD et les réseaux sociaux afin de faire découvrir ces entrepreneurs à toute la population. “Nous avons sélectionné des participants qui sont issus de secteurs variés et qui se distinguent également par leurs profils différents. Certains se sont lancés avec le transfert d’une entreprise déjà existante, alors que d’autres ont débuté dans l’entreprise familiale ou sont partis de zéro avec leur projet. C’est pour nous une façon de démontrer la diversité qui est présente sur notre territoire, mais surtout de rappeler qu’il y a plusieurs façons de se lancer en affaires.” conclut Mme Gourde.

Visitez la page Facebook ou le compte Instagram de la CCVD pour découvrir nos jeunes entrepreneurs !

Détail des conférences

« L’intégration des personnes immigrantes ; une responsabilité partagée » 
avec M. Joël Nawej, formateur et consultant – Autrement d’ici

Cet atelier a comme objectif de permettre aux participants et participantes de développer une plus grande sensibilité à l’égard des attentes d’intégration des organisations vis-à-vis des personnes issues de l’immigration. Ceci afin de travailler à dégager les meilleures pratiques d’accueil et d’inclusion.  

  • Qu’est-ce qu’une personne bien intégrée?
  • Les attentes, de part et d’autre, sont-elles réalistes?
  • Qu’est-ce que la charge mentale de la personne immigrante?
  • La responsabilité d’intégration appartient à qui?
  • Quelles sont les pratiques gagnantes?

Cet atelier sera présenté à tous les participants en ouverture


Choix de conférence 1
« Les différents parcours et dispositifs de reconnaissance des compétences »
avec Mmes France Dussault, directrice générale et Nathalie Leblanc, conseillère en reconnaissance des compétences – Qualifications Québec

Cette conférence vise à démystifier la reconnaissance des compétences et à mieux comprendre comment elle peut vous aider à développer votre entreprise, notamment en améliorant votre niveau de compétitivité, en augmentant la production et le développement, mais également pour faciliter les processus d’embauche et en réduire les coûts.

Les participants devront choisir entre la conférence 1 ou 2, présentées en simultané à 11h


Choix de conférence 2
« Les bonnes pratiques en matière de recrutement international »
avec Mme Viviane Baribeau – Vibe RH

En matière de recrutement international, dois-je travailler avec une agence ? Il y en a de plus en plus sur le marché :  comment choisir LA bonne ? Quelles questions se poser ? Cette courte conférence aura pour but de démystifier le monde du recrutement international et d’outiller les entreprises à faire le bon choix et à avoir de bonnes pratiques.

Les participants devront choisir entre la conférence 1 ou 2, présentées en simultané à 11h

Dévoilement des finalistes du 41e Gala de l’Entreprise

Val-d’Or, le 28 avril 2021 – La Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) a dévoilé aujourd’hui les 25 entreprises finalistes du Gala de l’Entreprise 2021. La CCVD se réjouit de pouvoir honorer les accomplissements et réussites des entreprises par ce grand rendez-vous annuel.

Les finalistes du Gala de l’Entreprise 2021

C’est à un comité Jury entièrement indépendant de la CCVD qu’est revenue la tâche d’analyser les dossiers de candidature et de désigner les finalistes et lauréats de cette 41e édition. Rappelons que les finalistes découvriront seulement lors du Gala la ou les catégories dans lesquelles ils sont nommés. Les finalistes du Gala de l’Entreprise 2021 sont :

Aki – Épicerie zéro déchet
Arkys
Béton Barrette
Coiffure Euphoria
Constructions Boréal Abitibi
Dans la Prairie
Distribution Sogitex
Ébénisterie AMB
Ékorce Kombucha
Eldorado Gold Québec
Forage Nordik
Fourrures Grenier
Groupe Autobus Maheux
Groupe VM
Hôtel Continental / Le Complexe 93
HydroTech Mining
IGA Extra Famille Pelletier
Les Becs Sucrés-Salés
Meubles Éco Déco
Mine Canadian Malartic
Minrail
Pharmacie Charline Prévost & Karine Rochette-Jalbert
Pharmacie K. Duval, M-A. Roy, M. Dupuis et V. Gilbert
Spiritueux Alpha Tango
TRAME Architecture + Paysage

Retour aux sources                           

C’est sous le thème Retour aux sources que se déroulera cette 41e édition. « Au cours de la dernière année, nos entreprises ont fait preuve d’une grande résilience et devant les nombreux défis, plusieurs en ont profité pour revenir à l’essentiel et solidifier leurs bases afin de mieux traverser la tempête. Nous savons les pieds et les mains qu’elles ont fait pour s’assurer de la satisfaction de leurs employés, tout comme de leurs clients et, dans le contexte, nous trouvions d’autant plus important de célébrer les succès de nos gens d’affaires » mentionne Simon Bertrand, 2e vice-président de la Chambre de commerce et président pour une troisième année du Gala de l’Entreprise.

Un budget centré sur la relance socioéconomique du Canada qui comporte certains angles morts

Val-d’Or, le 20 avril 2021 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD)applaudissent plusieurs mesures du budget 2021 du gouvernement du Canada, comme le prolongement des mesures d’urgences pour les entreprises, notamment la Subvention salariale et la Subvention d’urgence pour le loyer. Des montants substantiels sont également prévus, pour des secteurs qui auront besoin d’un soutien accru pour la relance, comme le tourisme. Toutefois, la FCCQ et la CCVD font valoir que des sommes supplémentaires auraient été nécessaires, notamment dans la formation des travailleurs.

« Le gouvernement fédéral a joué un rôle stratégique important dans l’appui aux entrepreneurs et aux travailleurs depuis le début de la crise de la COVID-19. Cet appui doit se maintenir tant et aussi longtemps que tous les secteurs de notre économie n’auront pas retrouvé un niveau d’activité comparable à ce qui prévalait avant l’imposition des restrictions sanitaires », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Tout en reconnaissant la menace électorale qui plane à Ottawa, nous demandons aux parlementaires de permettre le plus rapidement possible aux mesures du plan de relance économique de prendre forme et de se rendre aux citoyens », a ajouté Charles Milliard.

Le budget 2021-2022 présenté par la ministre des Finances, Chrystia Freeland, inclut le prolongement de la Subvention salariale d’urgence du Canada (SSUC) et la Subvention d’urgence du Canada pour le loyer (SUCL) jusqu’au 25 septembre. La FCCQ et la CCVD ont réitéré avant la présentation du budget qu’elles demandaient leur prolongement jusqu’en 2022.

« Le prolongement de trois mois supplémentaires des subventions salariales et au loyer est bienvenu. Il nous semble cependant évident qu’une autre prolongation sera nécessaire. De moins en moins d’entreprises en auront besoin, grâce à la campagne de vaccination qui permettra éventuellement la levée des restrictions sanitaires, mais il est important de garantir ce filet de sûreté à celles qui auront moins de chances. Nous nous attendons à ce qu’un soutien gouvernemental prolongé leur soit offert et annoncé rapidement pour permettre la rétention d’une main-d’œuvre aguerrie », a poursuivi M. Milliard.

Des incitatifs à l’emploi intéressant, mais des craintes quant à la viabilité de l’assurance-emploi

En main-d’œuvre, le gouvernement a répondu favorablement à plusieurs demandes du milieu des affaires en annonçant divers incitatifs pour favoriser le retour en emploi de nombreux travailleurs ayant quitté le marché du travail au cours de la dernière année. La bonification de l’Allocation canadienne pour travailleurs et le programme d’embauche pour la relance économique du Canada, la bonification des soutiens pour développer des opportunités d’emplois pour les étudiants et jeunes diplômés viendront aider les entreprises à embaucher de la main-d’œuvre compétente.

Le gouvernement avait gonflé les attentes l’automne dernier en annonçant le plus grand investissement de l’histoire en matière de développement des compétences. Quoique des investissements conséquents soient annoncés, les attentes ne sont pas comblées en ce sens auprès de la communauté d’affaires.

« Nuage gris à l’horizon, aucun plan n’est présenté dans le présent budget afin de faire face au déficit important que la présente pandémie a amené au régime d’assurance-emploi. Les entreprises craignent le choc tarifaire important qui surviendra en 2022, lorsque le moratoire sur les taux de cotisations au régime d’assurance-emploi prendra fin. Le directeur parlementaire du budget avait estimé à plus de 50 G$ le déficit à combler en quelques années, avant la prise en compte des diverses bonifications annoncées et envisagées par le gouvernement fédéral », a insisté M. Milliard.

Aide au tourisme

Une nouvelle enveloppe destinée au secteur du tourisme totalisant 1 G$ est annoncée, secteur économique ayant été affecté par la crise de la COVID-19.

« Les investissements annoncés pour nos festivals et nos entreprises touristiques constituent un signal important pour les entreprises de ce secteur. Même si les temps sont durs depuis le printemps 2020, la prospérité reviendra. D’ici le retour de la clientèle, c’est un bon moment pour investir dans la modernisation des installations et le développement de nouveaux produits. Le Québec a une main-d’œuvre d’une qualité exceptionnelle ainsi que de formidables attraits touristiques. L’aide annoncée aujourd’hui devra être versée rapidement et de manière équitable pour tous les joueurs de l’industrie afin de permettre une reprise des activités aussi rapide que possible », a souligné Charles Milliard.

Services de garde éducatifs à l’enfance

Cet hiver, la FCCQ et la CCVD ont eu l’occasion de mettre en lumière l’enjeu du manque de place en service de garde qui représente un frein important pour le développement économique des entreprises québécoises. Elle constate l’investissement de 30 G$ sur 5 ans par le gouvernement fédéral afin de mettre sur pied un réseau national de garderies et souhaite que la compensation financière qui serait octroyée pour le Québec soit précisée dès que possible, afin d’aider à combler plus de 50 000 places manquantes en services de garde au Québec, pour ainsi soutenir l’activité économique de nos entreprises.

Photo par NORTHFOLK sur Unsplash

Mise en candidature au conseil d’administration 2021-2022

Val-d’Or, le 20 avril 2021 – Depuis sa création en 1937, la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) est considérée comme l’un des plus grands réseaux de gens d’affaires de la région. Comptant aujourd’hui plus de 1080 délégués, la CCVD a pour mission de promouvoir le développement économique et d’agir comme un partenaire mobilisateur. Pour ses membres et la communauté d’affaires, la CCVD est un réseau de communication et un lieu d’échanges en matière de croissance et de réussites économiques.

L’assemblée générale annuelle de la Chambre de commerce de Val-d’Or aura lieu au mois de juin prochain. Lors de cette séance, les membres procéderont à l’élection du nouveau conseil d’administration. Cette année, huit sièges sont à combler. De ce nombre, quatre administrateurs seront élus par les membres de la CCVD et quatre administrateurs seront nommés par le conseil d’administration lors de l’assemblée générale annuelle.

Les membres du conseil d’administration agissent à titre de bénévole et leur rôle est d’orienter les prises de position de la Chambre de commerce et veiller au développement socioéconomique de son territoire. Notez qu’être un membre délégué de la CCVD et avoir soldé sa dernière cotisation est un critère de base pour être élu au sein du conseil d’administration. Les assemblées générales régulières ont lieu habituellement le 2e lundi du mois à 16 heures, sauf en période estivale.

Si vous désirez soumettre votre candidature, veuillez remplir le formulaire ci-dessous AVANT le 14 MAI 2021 et le retourner par télécopieur au 819 825-8599 ou par courriel au hparadis@ccvd.qc.ca

La FCCQ et la CCVD saluent le pragmatisme du budget Girard

Val-d’Or, le 26 mars 2021 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) sont satisfaites des grandes lignes du budget 2021-2022 du gouvernement du Québec. Elles saluent entre autres la baisse d’impôt prévue pour les petites et moyennes entreprises à 3,2 %, pour les premiers 500 000 $ de revenus.  

Le report exceptionnel de l’atteinte de l’équilibre budgétaire en 2027-2028 correspond à la position énoncée dans les attentes prébudgétaires de la FCCQ et la CCVD et est compréhensible étant donné les circonstances, afin de maintenir l’aide nécessaire de la part du gouvernement pour les entreprises. Elles prennent acte du déficit de 12,3 G$ pour la présente année budgétaire et 8,5 G$ pour l’année suivante. 

« La dernière année a été fort éprouvante sur le plan sanitaire bien entendu, mais aussi sur le plan économique, ce qui amène des conséquences importantes pour nos finances publiques, entre autres dans les rentrées fiscales. Pour nous, il s’agit d’un budget qui arrive à un moment exceptionnel et le gouvernement se doit de mettre en place toutes les conditions nécessaires pour retrouver dès que possible, la croissance économique que nous avions avant la crise. En ce sens, le plan budgétaire semble correspondre à nos attentes et le gouvernement vise juste en apportant un soutien à nos PME et à des secteurs clés qui ont été malmenés comme la culture et le tourisme », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ. 

Aide aux entreprises et aux secteurs en difficulté pour favoriser la relance 

Le budget 2021-2022 prévoit 150 M$ supplémentaires pour prolonger les deux principaux programmes d’aide aux entreprises mis en place pendant la crise de la COVID-19 : le programme Aide d’urgence aux PME (PAUPME), incluant son volet Aide aux entreprises en régions en alerte maximale (AERAM), ainsi que le programme d’action concertée temporaire pour les entreprises (PACTE). 

« Le gouvernement se doit de maintenir une présence importante dans l’aide octroyée auprès des entreprises pour les aider à se relever des conséquences économiques de la COVID-19. Les entrepreneurs qui bénéficient des programmes d’aide sont heureux d’apprendre que 150 M$ sont ajoutés au budget pour les prolonger. Nous demeurons cependant préoccupés par l’absence de mesure qui rendrait ces programmes plus accessibles et plus flexibles. Dans la situation exceptionnelle que nous vivons, il faut tout faire pour faciliter la vie des entrepreneurs. L’ajout de fonds est bienvenu, mais encore faut-il que les entreprises y aient accès sans être embourbées dans les formulaires administratifs. L’État peut et doit faire mieux, un an après le début de la pandémie », a affirmé Charles Milliard. 

Des sommes insuffisantes en formation en entreprise et en main-d’œuvre 

Malheureusement, la FCCQ et la CCVD estiment que l’aide budgétaire aux entreprises ne s’attaque pas assez vigoureusement aux enjeux de main-d’œuvre. Le gouvernement investit massivement pour retourner les chômeurs sur les bancs d’école. Cependant, rien n’est prévu pour la formation des travailleurs déjà en emploi. Alors qu’il y a actuellement plus de 148 000 postes vacants au Québec, le moment aurait été opportun d’accroître les mesures d’aide à la formation en emploi alors que les entreprises et leurs employés doivent plus que jamais s’adapter à de nouvelles réalités technologiques qui transforment les opérations. 

Ce budget mise fortement sur la persévérance scolaire de nos jeunes en leur donnant accès à des milieux d’apprentissages plus modernes et plus adaptés tout en prévoyant l’embauche de plus de professionnels pour les appuyer. Cette vision est partagée par la FCCQ et la CCVD Il s’agit du meilleur investissement possible pour le développement économique et social du Québec. Cependant, comme tout employeur, nous craignons que le gouvernement se heurte à la rareté de main-d’œuvre et que cela nuise à la réalisation de ses objectifs. 

« La rareté de main-d’œuvre et le manque de productivité demeureront des enjeux importants pour les prochaines années, malgré le contexte des 12 derniers mois. C’est pourquoi il est important que le gouvernement consacre les ressources nécessaires afin de rehausser fortement les compétences des travailleurs québécois de toutes les industries. Malheureusement, nous aurions espéré davantage du budget d’aujourd’hui pour cet enjeu si déterminant pour l’économie et les régions québécoises », a rappelé Charles Milliard. 

Des sommes pour des secteurs clés et le développement régional 

Un montant total de 523 M$ sur six ans est consacré au développement régional, dont 205 M$ pour le soutien et la relance du secteur touristique. Pour la FCCQ et la CCVD ce secteur est un pilier de notre économie et il est plus fortement touché que d’autres par la crise actuelle, en particulier dans les villes aux quatre coins du Québec. L’aide annoncée pour relancer nos centres-villes et pour stimuler les investissements privés dans le secteur touristique était très attendue.  

« L’accès au territoire est un autre enjeu crucial auquel nous devions répondre : la bonification du soutien aux aéroports ainsi qu’aux transporteurs aériens régionaux et par autocar répond ainsi à un besoin criant. Nous accueillons aussi positivement les appuis financiers supplémentaires accordés aux industries forestières, minières et aérospatiales, tout comme les investissements pour étendre les réseaux de distribution du gaz naturel, par exemple », a souligné Charles Milliard. 

Places en services éducatifs  

En ce qui concerne l’un des enjeux les plus préoccupants pour la région à l’heure actuelle, le budget prévoit 116 M$ pour la création de places en services éducatifs à l’enfance tout comme 33 M$ pour la formation d’éducatrices. « On voit dans le budget que certaines de nos préoccupations ont été entendues, notamment sur l’importance de valoriser et de former davantage d’éducatrices en petite enfance. Des sommes vont également être dirigées vers les milieux familiaux, qui ont été malmenés ces dernières années par le gouvernement. Est-ce que ce sera suffisant pour renverser la vapeur et faire une réelle différence rapidement sur notre territoire? Chose certaine nous allons suivre le dossier de près et continuer de militer pour que nos jeunes parents puissent retourner au travail car nous avons besoin d’eux au sein de nos entreprises. » affirme Jérémi Fournier, président de la CCVD.  

Le manque de places en services de garde éducatifs à l’enfance nuit à l’activité économique

Montréal, le 25 février 2021 – Alors qu’on fait état du manque criant de places de qualité en services de garde éducatifs à l’enfance, la dération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) en compagnie de l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) et de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ), constatent que cette situation a également un impact important sur les entreprises du Québec et nuit à l’activité économique.

Conséquences directes sur le développement des entreprises
Les échos auprès de la communauté d’affaires partout au Québec y compris en Abitibi-Témiscamingue, parmi les effets négatifs tangibles des manques de places, notons le retard dans le développement de nouveaux projets et les difficultés pour avoir accès à de nouveaux capitaux et le recrutement de nouveaux talents.

« Le milieu d’affaires aux quatre coins du Québec nous exprime plus que jamais que le manque d’offre pour des services de garde éducatifs a des conséquences directes sur l’essor de leur entreprise. On observe des tendances lourdes sur l’activité économique, notamment en raison d’une hausse du taux d’absentéisme et d’employés qui doivent diminuer leurs heures travaillées. La conciliation travail-famille représente un défi pour de nombreux parents et trop souvent, ce sont des femmes qui en sont les victimes et qui doivent retarder leur retour au travail », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

Un outil puissant pour l’économie
Des données qui font écho aux nombreux témoignages que l’on trouve sur les réseaux sociaux et dans les médias. Dans un sondage maison mené par l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) auprès des familles sans place, près de 50% des répondantes subissent présentement une baisse de leur salaire, parce qu’elles doivent travailler à temps partiel, prolonger leur congé parental ou carrément retourner à la maison, alors que l’autre 50% des répondantes cherchent désespérément une place avant la fin de leur congé parental.

« À l’origine, un des objectifs des services de garde éducatifs à contribution réduite était de permettre aux femmes d’accéder au marché du travail. Un objectif atteint avec plus de 70 000 femmes qui y ont accédé grâce à cette mesure. Force est de constater que la pénurie actuelle est un pas en arrière. Le manque de places empêche des milliers de femmes de poursuivre leur carrière et de participer pleinement à la société québécoise » a affirmé Geneviève Bélisle, directrice générale de l’AQCPE.

Enjeu important en région
Selon les données de l’Observatoire de l’Abitibi-Témiscamingue, le territoire de la MRC de La Vallée-del’Or est celui le plus en déficit de places en services de garde éducatifs è l’enfance en région, alors que les places offertes ne couvraient de 77% des besoins au 31 décembre 2019. Les estimations du ministère de la Famille démontrent que plus de 600 places sont manquantes alors que seulement 8 ont été ajoutées en région depuis 4 ans. Cela sans compter que les personnes responsables d’un service de garde en milieu familial continuent de diminuer de façon marquée depuis plusieurs années.  

« Il ne faut pas que le manque de place de qualité en services de garde éducatifs soit un frein au maintien et au développement de l’économie dans toutes les régions du Québec. Surtout dans le contexte actuel de pénurie de main-d’œuvre, où chaque emploi compte » a renchéri Samir Alahmad, président de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ).

« Nous le savons, la main-d’œuvre est déjà un grand défi pour nos membres et particulièrement ces dernières années, les enjeux en lien avec les garderies sont venus exacerber la pénurie. Ça constitue un réel frein à la croissance et à la compétitivité de nos entreprises, en plus de nuire à notre attractivité. Nous clamons que nous sommes une région d’opportunités, nous travaillons à attirer des familles ici et à retenir nos jeunes professionnels, il nous parait essentiel de pouvoir à tout le moins leur offrir des places en garderie pour leurs enfants » a ajouté Jérémi Fournier, président de la CCVD.

Des conditions gagnantes pour la relance économique
« À l’instar des préoccupations du ministre de la Famille pour le développement des places, on sent une préoccupation palpable de la communauté d’affaires du Québec sur cet enjeu. Nous croyons qu’il serait nécessaire à ce stade-ci que des ministres à vocation économique, sociale et régionale s’impliquent également, afin qu’un plan d’accélération de places de qualité en services de garde éducatifs soit déployé pour les 50 000 enfants en attente. Il faut mettre en place toutes les conditions gagnantes pour une relance économique forte et durable », a poursuivi M. Milliard.

Recommandations pour pallier le manque de places
Afin de corriger la situation et d’atténuer les impacts économiques du manque de places, le gouvernement doit agir sans délai. La FCCQ et la CCVD proposent de procéder à une réelle évaluation du taux de couverture des places offertes dans les différentes régions du Québec et d’offrir une formation accélérée pour l’éducation en service de garde, techniques d’éducation à l’enfance et formation à la petite enfance.

« Il est impératif de débloquer le développement des services de garde éducatifs pour le milieu économique et pour la société québécoise dans son ensemble. Nous souhaitons jouer un rôle actif dans ce dossier et nous nous rendons disponibles pour discuter de solutions d’accélération du développement avec le ministre Lacombe. Nous répondrons aussi présents dans l’exercice des consultations publiques qu’il entend mener pour son livre blanc », a conclu Charles Milliard.

À propos de la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD)
La Chambre de commerce de Val-d’Or est un organisme à but non lucratif qui compte plus de 1 115 délégués actifs au sein de la communauté d’affaires. Ayant pour mission de promouvoir le développement socioéconomique, la CCVD agit comme partenaire mobilisateur, porte-parole et défenseur des entreprises de son territoire.

À propos de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)
Grâce à son vaste réseau de 130 chambres de commerce et 1 100 membres corporatifs, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) représente plus de 50 000 entreprises exerçant leurs activités dans tous les secteurs de l’économie et sur l’ensemble du territoire québécois. Plus important réseau de gens d’affaires et d’entreprises du Québec, la FCCQ est à la fois une fédération de chambres de commerce et une chambre de commerce provinciale. Ses membres, qu’ils soient chambres ou entreprises, poursuivent tous le même but : favoriser un environnement d’affaires innovant et concurrentiel.

À propos de l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE)
L’AQCPE exerce un leadership dans la représentation, le rayonnement et l’accompagnement d’un réseau éducatif de CPE/BC de qualité pour les enfants de 0 à 5 ans.

À titre d’expert en petite enfance, l’AQCPE vise à concrétiser le projet de société d’offrir à tous les enfants de 0 à 5 ans un accès universel à des services éducatifs de qualité en CPE/BC en collaboration avec les familles.

À propos de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ)
L’Association des garderies privées du Québec (AGPQ) défend les grands principes fondamentaux tels que le droit de l’enfant à des services de garde de qualité, le libre choix des parents quant au mode de garde, une plus grande reconnaissance du réseau des garderies privées par les instances gouvernementales, le rôle social tenu par le réseau au Québec, la pérennité des services de garde et la diminution des disparités existantes entre les garderies privées et les CPE.

L’AGPQ représente et défend ses membres sur différents comités, instances gouvernementales et tables sectorielles de la petite enfance, offre des services de formation et d’information à ses membres, promouvoit la continuité des garderies subventionnées et représente celles-ci à travers le Québec.

Photo par BBC Creative sur Unsplash