FORMATION EN LIGNE – COMPLET

CERTIFICATION – LEADERSHIP ET HABILETÉS DE DIRECTION

Prenez note qu’il n’y a plus de disponibilités pour cette formation. Cependant, si vous avez un intérêt, veuillez nous en faire part par courriel. Nous évaluons la possibilité de lançons une 2e cohorte.

La Chambre de commerce de Val-d’Or a le plaisir d’offrir une participation à la Certification en leadership et habiletés de direction offerte par l’Institut de leadership (une valeur de 5 595$).

Sujets traités :

  • Le coaching d’équipe à distance;
  • Maximiser son intelligence émotionnelle en toute situation;
  • Les habiletés politiques et l’influence en temps de crise;
  • La rétroaction et la reconnaissance au quotidien;
  • Les habiletés de communication en gestion difficile;
  • Le courage managérial;
  • La gestion du changement;
  • Le leadership numérique;
  • La gestion du stress.

Cohorte de 25 places! Du 17 août au 23 septembre 2020

Un frais d’inscription de 995$ + tx est nécessaire mais selon l’organisation pour laquelle vous travaillez, nous serons en mesure de rembourser votre entreprise jusqu’à concurrence de 25$/heure pour les 45 heures du programme (remboursement possible de 1 125$).

Le programme d’une durée de 45 heures sera offert en ligne à raison de 
deux demi-journées par semaine sur six semaines (une douzaine 
d’intervenants dont plusieurs témoignages de personnalités québécoises). 

Profitez de cette opportunité exceptionnelle offerte dans le cadre du 
programme PACME du Gouvernement du Québec pour suivre la formation en leadership pour les cadres et dirigeants la plus populaire au Québec et ce, gratuitement. Une chance qui ne reviendra pas! 

Comme il s’agit d’un programme subventionné par le gouvernement pour encourager la relance de l’économie, il est à noter que les travailleurs des ministères et organismes financés par des fonds publics, tels que les municipalités et les administrations locales, les sociétés d’État, les universités publiques, les collèges, les écoles, les hôpitaux et les centres intégrés de santé et de services sociaux, les conseils de bande et les collectivités (villes, MRC) ne sont pas admissibles.

Le travailleur autonome est admissible au remboursement salarial si son mode de paiement habituel est le versement d’un salaire dans le cadre de son entreprise. Cependant, s’il se verse des dividendes, il n’est pas admissible au remboursement salarial. Il peut par contre assister à la formation au tarif de 995$ +taxes, seulement son salaire ne sera pas remboursé. C’est déjà un rabais de 83% sur le tarif régulier. 

Pour plus d’informations, communiquez avec Hélène Paradis au hparadis@ccvd.qc.ca.

Reprise des activités dans plusieurs secteurs

Une reprise économique aux multiples défis, soulignent la FCCQ et la CCVD

Val-d’Or, le 12 mai 2020 – Alors que des centaines de milliers de personnes retournent au travail, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) soulignent les nombreux défis auxquels font face les entreprises du Québec. En accord avec le plan de reprise graduelle des activités économiques présenté par le gouvernement du Québec, les chantiers de construction et le secteur manufacturier reprenaient leurs activités ce lundi.

Après le secteur résidentiel qui avait déjà repris depuis le 20 avril, tous les chantiers de construction pouvaient redémarrer à compter d’aujourd’hui. C’était également le cas pour les entreprises manufacturières, à qui sont toutefois imposées certaines limites quant au nombre d’employés. Pour l’instant, celles-ci ne peuvent en effet accueillir qu’un maximum de 50 employés et 50 % seulement de la main-d’œuvre excédant ce chiffre.

« C’est un pas de plus vers une reprise normale de l’activité économique, mais nous devons procéder avec prudence et nous insistons sur l’importance pour les employés et employeurs de respecter les nouvelles règles en place afin d’assurer une reprise réussie et durable. Les défis d’adaptation sont énormes pour nos entreprises et il est plus que jamais nécessaire que les gouvernements prévoient la mise en place de soutiens financiers pour que les entreprises puissent respecter les normes sanitaires qui seront désormais en vigueur et l’augmentation des coûts associée à ces mesures », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Nous savons que le respect des normes et règles sanitaires est essentiel pour maintenir la reprise de l’activité économique et les entreprises doivent investir pour se conformer aux mesures mises en place. C’est pourquoi, l’instauration d’aides financières gouvernementales pourrait les soulager et leur permettre de limiter l’introduction de nouveaux coûts difficiles à supporter en cette période de crise », a souligné le président de la CCVD, Jérémi Fournier.

La PCU et la PCUE complique le recrutement et la rétention de la main-d’œuvre

Alors qu’on prépare la réouverture des entreprises, de plus en plus d’employeurs font part des difficultés qu’ils rencontrent pour inciter leurs employés qui touchent la Prestation canadienne d’urgence (PCU) à retourner au travail. La PCU et son pendant pour les étudiants (PCUE) devront être adaptés afin de favoriser le retour en emploi des prestataires de ces mesures d’aides. Pour de nombreux travailleurs, ces mesures favorisent un retour au travail uniquement à temps partiel. La limite discriminante du 1000$ de revenu par mois amène un calcul financier qui nuit à la réponse aux besoins des entreprises déconfinées.

Alors que le gouvernement doit annoncer prochainement si la PCU sera prolongée après la mi-juin, l’occasion est parfaite d’inclure de nouveaux critères visant à encourager l’activité en rendant les gains de travail plus intéressant.

« La PCU et la PCUE ont été mises en place pour répondre à un besoin urgent dans un contexte de crise. Maintenant que nous nous dirigeons vers une relance, il faudra s’assurer que les mesures de soutien ne viennent pas nuire aux efforts de reprises économiques. Un grand nombre d’employés à taux horaire n’ont simplement

aucun avantage à reprendre le travail à temps plein en ce moment. Les programmes de soutien ont été élaborés pour aider les employés mis à pied, pas pour devenir un frein au travail. Cette situation contreproductive doit être corrigée au plus vite », a ajouté Charles Milliard.

Une aide pour les moyennes et grandes entreprises saluée

La FCCQ et la CCVD saluent par ailleurs l’annonce par le gouvernement fédéral du crédit d’urgence pour les grands employeurs (CUGE). Ce programme de prêts et garanties de prêts pour les moyennes et grandes entreprises offrira un financement de 60 M$ ou plus aux entreprises ayant un revenu de plus de 300 M$, via la BDC. Le Programme de crédit aux entreprises (PCE) aux entreprises de taille moyenne qui ont des besoins plus importants en financement est également élargi. Parmi les mesures de soutien offertes aux moyennes entreprises, on note des prêts allant jusqu’à 60 M$ par entreprise et des garanties d’au plus 80 M$.

« Ces mesures aideront les moyennes et grandes entreprises qui ont des besoins de liquidités importants elles aussi. Comme nous l’avons déjà souligné, il faudra toutefois s’assurer de limiter autant que possible l’endettement des entreprises après la crise afin de faciliter leur relance », a conclu M. Milliard.

Plan de réouverture graduelle des entreprises

La FCCQ et la CCVD saluent un plan de relance qui était fort attendu
et qui marque le point de départ de la reprise économique

Val-d’Or, le 28 avril 2020 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) accueillent avec enthousiasme le plan de réouverture graduelle des entreprises et de relance progressive de l’économie présenté par le premier ministre, M. François Legault, ainsi que le ministre de l’Économie et de l’Innovation, M. Pierre Fitzgibbon. Cette annonce était fort attendue et envoie un signal positif pour plusieurs secteurs de l’économie québécoise qui ont été durement affectés par la Covid-19.

Le plan de relance coordonné avec la Direction de la santé publique s’échelonnera sur plusieurs semaines et comprend différentes phases. Le commerce de détail, la construction et le manufacturier sont trois secteurs névralgiques qui reçoivent aujourd’hui des indications de reprise à court et moyen terme.

« Le commerce de détail représente à lui seul plus de 480 000 emplois au Québec et permet de répondre aux besoins de consommation des Québécois. La relance des projets de construction et du secteur manufacturier était également attendue. Les retards à combler pour certains projets d’infrastructures représenteront des défis que les entreprises québécoises sont prêtes à relever », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

S’assurer que les entreprises puissent avoir l’ensemble des ressources pour la relance

La FCCQ et la CCVD proposent que les gouvernements prévoient la mise en place des soutiens financiers nécessaires pour que les entreprises puissent respecter les normes sanitaires qui seront désormais en vigueur et l’augmentation des coûts associée à ces mesures. Ces mesures de prévention seront essentielles afin de s’assurer d’une relance économique durable et éviter un retour à la suspension des activités.

« Les coûts pour les entreprises de ces rénovations sanitaires et des mesures d’adaptation représenteront un fardeau considérable. Dans certains cas comme pour les secteurs de l’agroalimentaire, du manufacturier et de la construction, les entreprises devront carrément réaménager et rénover les lieux et leurs postes de travail ainsi que leurs lignes de production. Elles devront être soutenues financièrement pour qu’elles puissent effectuer rapidement ces travaux si elles ne veulent pas prendre trop de retard en vue de la relance », a ajouté Charles Milliard.

« Nos entreprises devront s’adapter rapidement aux nouvelles réalités, notamment pour appliquer les nouvelles règles sanitaires. Les coûts engendrés seront bien évidemment considérables pour chacune d’entre elles, et il est essentiel de leur apporter un soutien financier », a souligné le président de la CCVD, Jérémi Fournier.

« Cette nouvelle réalité nécessitera aussi l’ajout de ressources humaines pour s’occuper des entrées et sorties des magasins du secteur du commerce au détail, et accentuera la pression pour recruter la main-d’œuvre nécessaire. D’autant plus que les mesures annoncées par le gouvernement fédéral la semaine dernière visant à rémunérer les étudiants n’aideront pas à attirer cette main-d’œuvre à temps partiel si importante pour les entreprises, en particulier en période estivale. Cette mesure devra être réévaluée et adaptée afin de prévenir ses effets néfastes sur l’économie. Les entreprises québécoises sont prêtes à faire leur part pour contribuer à la relance, mais les soutiens gouvernementaux doivent demeurer au rendez-vous dans ce contexte bien particulier », a poursuivi M. Milliard.

Pour la FCCQ et la CCVD nul doute que le gouvernement poursuivra ses efforts en santé publique, notamment dans le Grand Montréal, pour s’assurer que les entreprises de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) puissent reprendre leurs activités aux dates annoncées aujourd’hui, et rattraper l’écart avec des régions québécoises où la reprise s’effectuera en premier.

« Pour certains secteurs d’activités, il serait nécessaire d’assurer de la flexibilité dans l’application des guides de la CNESST présentés aujourd’hui. En ce sens, la notion de respecter « dans la mesure du possible » une distance minimale de 2 mètres est essentielle. Les entreprises collaboreront de leur côté, notamment grâce aux équipements de protection individuelle, mais le respect intégral de cette notion pourrait être complexe pour bon nombre d’entre elles », a rappelé M. Milliard.

« On le constate rapidement, cette relance s’accompagne de nombreux défis pour nos entreprises, mais c’est néanmoins un signal fort positif que le gouvernement envoie aujourd’hui. Une attention particulière doit également être portée au niveau d’endettement des entreprises afin de s’assurer que cette relance soit la plus dynamique et durable possible », a conclu Charles Milliard.

Aide d’urgence pour les loyers

Un programme d’aide majeur pour les PME avec plusieurs zones d’ombre, soulignent la FCCQ et la CCVD.

Val-d’Or, le 27 avril 2020 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) saluent l’annonce du gouvernement fédéral concernant l’aide d’urgence pour le paiement du loyer des PME. Ce programme qui était grandement attendu doit maintenant être déployé et l’argent versé le plus rapidement possible. Il demeure toutefois de nombreuses zones d’ombres et la FCCQ ainsi que la CCVD suivront de près le dévoilement des détails entourant ce nouveau programme.

En vertu d’une entente entre le gouvernement fédéral et l’ensemble des provinces, l’aide d’urgence du Canada pour le loyer commercial prévoit une réduction du loyer de 75% pour les mois d’avril, mai et juin. Cette aide s’adresse aux PME, aux OBNL et aux organismes de bienfaisance qui paient moins de 50 000 $ par mois en loyer et qui ont temporairement interrompu leurs activités ou dont les revenus précédents la COVID‑19 ont diminué d’au moins 70 %.

Le propriétaire d’un immeuble commercial hypothéqué réduirait d’au moins 75 % le loyer mensuel payable. Le locataire et le propriétaire devraient couvrir chacun 25 % du loyer, tandis que le gouvernement fédéral et les provinces se partageraient les 50 % restants.

« Nous saluons l’effort du gouvernement pour répondre à une préoccupation pour de nombreuses entreprises, particulièrement dans le secteur de la restauration et du commerce de détail. Actuellement, chaque jour compte pour certaines entreprises dont la survie est en péril. Le versement rapide des sommes est donc une condition essentielle du succès de ce programme. On rappelle d’ailleurs depuis le début de la crise l’importance de continuer à répondre aux besoins de liquidités des entreprises », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Nos entreprises ont été profondément impactées par cette crise et ce programme d’aide d’urgence permettra de les soulager de leur situation précaire. » a souligné le président de la CCVD, Jérémi Fournier. « Il est important de rester à l’écoute des entreprises de notre territoire afin de mettre en place des mesures en adéquation avec leur besoin et le versement rapide de ces sommes reste une priorité. »

« Nous comprenons que tous ces nouveaux programmes sont élaborés rapidement, mais l’annonce de vendredi dernier soulèvent de nombreuses questions. Qu’est-il prévu pour les entreprises de plus grande taille qui éprouvent également des difficultés et sont parfois dans des situations critiques? Le critère d’interruption des activités est flou pour les entreprises qui ont transformé leurs opérations en ligne et celui d’une perte de revenu de 70% est particulièrement restrictif », a ajouté Charles Milliard.

« Tout comme pour les autres programmes, nous soulignons que la perte de revenus n’est pas un critère qui s’applique à toutes les situations, pensons aux entreprises qui maintiennent un certain niveau de revenus mais dont les coûts de production et d’approvisionnement explosent présentement. Il faut aussi porter une attention

particulière au niveau d’endettement de plusieurs de ces entreprises si l’on veut s’assurer d’une relance efficace. L’aide devrait s’appliquer rétroactivement au début de la crise et de la suspension des activités, qui dans bien des cas a débuté avant avril. Une des clés de la réussite de ces programmes sera donc leur flexibilité afin de s’adapter aux déférentes réalités des entreprises », a poursuivi M. Milliard.

Prestation canadienne d’urgence pour étudiants

La FCCQ et la CCVD constatent également qu’un autre programme annoncé cette semaine pourrait avoir des effets imprévus. La PCU destinée aux étudiants est une bonne nouvelle, mais les montants offerts ne créent pas de réel incitatif au travail. Paradoxalement, le recrutement d’employés pourrait donc être plus compliqué même si le taux de chômage est en hausse.

« Nous recevons déjà plusieurs commentaires de nos membres, notamment dans le commerce de détail ou dans les régions touristiques, qui s’inquiètent de l’effet de cette prestation sur le recrutement de la main-d’œuvre. Il faut maintenant que les programmes de soutien aux particuliers sortent du mode d’urgence pour se mettre en mode relance. Pour maximiser leur efficacité et encourager l’activité, les mesures doivent être plus ciblées et moins universelles », a conclu Charles Milliard.

On est toujours là!

Campagne en support aux entreprises locales

La Ville de Val-d’Or, la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD), ainsi que les médias locaux ont procédé ce matin au lancement d’une importante campagne en support aux entreprises valdoriennes dans le contexte de la lutte à la pandémie.

La campagne On est toujours là! met de l’avant l’achat local notamment par la publication d’un répertoire d’entreprises qui permet de trouver rapidement un service ou un produit. De plus, par cette campagne les instigateurs souhaitent sensibiliser les consommateurs au pouvoir qu’ils possèdent par le choix des produits qu’ils utilisent.

En visitant le www.onesttoujoursla.com, les citoyens découvriront plus d’une centaine d’entreprises locales qui offrent toujours des services malgré les mesures sanitaires imposées. Le répertoire sera bonifié et mis à jour par la CCVD grâce à la participation des commerçants qui sont invités à remplir un formulaire en ligne.

« La situation actuelle nous invite à nous orienter vers une consommation locale pour soutenir notre économie. Il est plus important que jamais d’encourager nos entrepreneurs qui se retroussent les manches pour travailler autrement et nous offrir leurs produits et leurs services avec cœur et créativité » souligne le président de la CCVD, Jérémi Fournier.

Les médias locaux Le Citoyen, Énergie, WOW FM, Capitale Rock, TVC9, TVA et V Abitibi-Témiscamingue ont accepté de travailler de concert dans l’élaboration, la création et la diffusion de cette campagne. Celle-ci se déclinera de différentes façons au cours des prochaines semaines. En plus d’être l’occasion de souligner la présence de nos entreprises, la campagne se veut positive en suscitant la fierté et le sentiment d’appartenance.

Par exemple, des capsules vidéo produites par Adama Productions seront diffusées sur diverses plateformes, des messages radios encourageront l’achat local et des publications dans le journal publiciseront le répertoire et différentes initiatives mises de l’avant permettant de favoriser les produits et services de notre territoire. Les forces de chacun des médias impliqués seront mises à contribution afin de créer un véritable front commun en faveur de l’achat local.

Pour le maire de Val-d’Or, Pierre Corbeil : « Cette collaboration exceptionnelle met en lumière la formidable capacité de notre milieu à s’unir pour relever des défis. Le cœur présent dans la signature graphique de la campagne nous rappelle que l’achat local est une affaire de cœur. Tous les gestes comptent pour aider sa communauté à passer au travers cette période difficile. »

Vous souhaitez utiliser l’image de marque de la campagne « On est tojujours là!, les éléments graphiques sont à votre disposition. Téléchargez-les.

Détail des conférences

Mme Bibiana Pulido,  directrice générale Réseau interuniversitaire québécois pour l’équité, la diversité et l’inclusion

«Comment intégrer l’équité, la diversité et l’inclusion dans les organisations? Vers des pratiques inclusives en recrutement et en rétention» 

Les entreprises se questionnent de plus en plus sur comment intégrer l’équité, la diversité et l’inclusion (ÉDI) dans leurs activités, mais ne savent pas exactement par où commencer. Notamment, la majorité des démarches en ÉDI se limitent à assurer la représentativité des personnes issues de la diversité et s’attardent peu aux pratiques qui contribuent à un milieu de travail diversifié et inclusif. Dans le cadre de cette conférence vous serez outillé.e.s sur les notions de base en ÉDI, sur les biais inconscients ainsi que des pratiques individuelles et organisationnelles inclusives en matière de recrutement et rétention des employé.e.s.

Cette conférence sera présentée à tous les participants à 8h30

M. Jean-Sébastien Plourde, directeur Services à la clientète, AURAY  Sourcing, filiale de Raymond Chabot Grant Thornton

Choix de conférence 1
«Démystifier l’embauche de travailleurs issus de l’immigration»

Au Québec, le nombre de postes vacants ne cesse d’augmenter et l’Abitibi-Témiscamingue ne fait pas exception avec plus de 4 300 postes qui ne trouvent pas preneurs. Le manque de main-d’œuvre oblige les employeurs à modifier leurs stratégies et leurs modes de fonctionnement. Dans un tel contexte, de plus en plus de PME considèrent le recrutement international comme un moyen supplémentaire pour embaucher la main-d’œuvre dont elles ont tant besoin. Vous envisagez de recruter des travailleurs issus de l’immigration, mais vous avez des interrogations, des hésitations? Vous souhaitez en apprendre davantage sur le sujet?  Cette présentation interactive vous aidera à démystifier le processus.

Les participants devront choisir entre la conférence 1 ou 2, présentées en simultané à 10h45

Me Joël Beaudoin, avocat, Cain Lamarre
Me Robert-André Adam, avocat associé, Cain Lamarre

Choix de conférence 2
«L’Immigration stratégique : comment distinguer et choisir le bon programme d’immigration temporaire»

Lors de cette présentation, les conférenciers vous exposeront les différents programmes d’immigration temporaire, leurs implications et conditions d’admissibilité. Tant le programme des travailleurs étrangers temporaires que le programme de mobilité internationale seront abordés, ainsi que les récents assouplissements annoncés par le ministre Jean Boulet et les obligations de conformité des employeurs.

Les participants devront choisir entre la conférence 1 ou 2, présentées en simultané à 10h45

Mise en candidature – Conseil d’administration 2020-2021

Depuis sa création en 1937, la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) est considérée comme l’un des plus grands réseaux de gens d’affaires de la région. Comptant aujourd’hui plus de 1 135 délégués, la CCVD a pour mission de promouvoir le développement économique et d’agir comme un partenaire mobilisateur. Pour ses membres et la communauté d’affaires, la CCVD est un réseau de communication et un lieu d’échanges en matière de croissance et de réussites économiques.

L’assemblée générale annuelle de la Chambre de commerce de Val-d’Or aura lieu au mois de juin prochain. Lors de cette séance, les membres procéderont à l’élection du nouveau conseil d’administration. Cette année, huit sièges sont à combler. De ce nombre, quatre administrateurs seront élus par les membres de la CCVD et quatre administrateurs seront nommés par le conseil d’administration lors de l’assemblée générale annuelle.

Les membres du conseil d’administration agissent à titre de bénévole et leur rôle est d’orienter les prises de position de la Chambre de commerce et veiller au développement socioéconomique de son territoire. Notez qu’être un membre délégué de la CCVD et avoir soldé sa dernière cotisation est un critère de base pour être élu au sein du conseil d’administration. Les assemblées générales régulières ont lieu habituellement le 2e lundi du mois à 16 heures, sauf en période estivale.

Si vous désirez soumettre votre candidature, veuillez remplir ce formulaire AVANT le 15 MAI 2020 et le retourner par télécopieur au 819 825-8599 ou par courriel au hparadis@ccvd.qc.ca.

Merci de votre collaboration et espérant vous compter parmi nous lors de l’assemblée générale annuelle.

Hélène Paradis, directrice générale
819 825-3703

Aides publiques pour les PME et les régions

Val-d’Or, le 18 avril 2020 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) ainsi que la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) réagissent positivement à l’annonce de vendredi du gouvernement fédéral concernant l’élargissement des programmes d’aide aux PME et les nouvelles sommes destinées au secteur culturel. Elles rappellent également l’importance de continuer à répondre aux besoins de liquidités des entreprises pour passer au travers de cette crise de la COVID-19.

Plus d’un milliard additionnel pour les PME

L’annonce de vendredi prévoit 962 M$ pour les agences de développement régional et le réseau de développement des collectivités, ainsi qu’une somme de 270 M$ pour la recherche et l’innovation.

« Élargir l’accès à l’aide publique pour que les entreprises puissent rencontrer leurs obligations financières et limiter les pertes d’emplois est une bonne nouvelle, notamment pour les PME en démarrage et celles situées en régions », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ. « Les sommes annoncées seront probablement insuffisantes pour répondre aux besoins des startups et des entreprises en précommercialisation du Québec, mais c’est définitivement un pas de plus dans la bonne direction. »

« Pour la majorité d’entre elles, les PME du secteur ont été lourdement impactées par la crise que nous subissions actuellement. Pour soutenir l’économie en région, la conservation des emplois est indispensable. C’est pourquoi la CCVD accueille favorablement la flexibilité des programmes et les aides additionnelles annoncées. » affirme le président, Jérémi Fournier.

« Plus l’aide financière directe sera accessible rapidement, plus on évitera les possibilités d’endettement des entreprises durant la crise, ce qui facilitera le retour aux affaires au moment du redémarrage », a ajouté Charles Milliard.

Aide au secteur de la culture

Plusieurs entreprises qui gravitent dans le monde de l’événementiel sont durement touchées. Pensons à l’organisation du Festival d’Humour de l’Abitibi-Témiscamingue par exemple qui a dû annuler sa 23e édition.

« Le secteur culturel est particulièrement touché par la crise actuelle. Cette annonce du gouvernement fédéral tombe à point et est une excellente nouvelle pour l’industrie culturelle, dont les retombées sont importantes pour l’économie québécoise », a souligné M. Milliard.

Vers une relance durable

« Nous sommes désormais dans un mode de reprise graduelle des activités. Il faudra prévoir la mise en place des soutiens financiers nécessaires pour que les entreprises puissent respecter les normes sanitaires qui seront en vigueur dans la réalité d’après-crise et les coûts importants associés à ces mesures. Ces mesures de prévention seront essentielles afin de s’assurer d’une relance économique durable et éviter un retour à la suspension des activités », a conclu Charles Milliard.

Programme de subventions salariales

Des avancées pour aider davantage d’entreprises

Val-d’Or, le 8 avril 2020 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) accueillent positivement les changements annoncés aujourd’hui et l’élargissement du programme de subventions salariales aux entreprises.

Faire passer le seuil de baisse de revenus de 30 % à 15 % pour le mois de mars et la possibilité d’utiliser la moyenne des revenus de janvier et février 2020 comme base de référence, plutôt que le même mois de l’année précédente, permettra d’augmenter le nombre d’entreprises admissibles au programme. Une flexibilité supplémentaire devrait être nécessaire pour couvrir un plus grand bassin d’entreprises en difficulté, compte tenu des impacts de la COVID-19.

« Nous avions soulevé certaines lacunes et on constate avec satisfaction que le gouvernement fédéral vient assouplir des critères d’admissibilité », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Toutefois, nous pensons que d’autres mesures supplémentaires seront nécessaires afin d’étendre l’aide pour les entreprises qui ne répondent toujours pas aux critères. » a ajouté le président de la CCVD, Jérémi Fournier.

« La majorité des startups et les entreprises de R&D, qui trouvent leurs investissements en se fondant sur une promesse de rentabilité future, auront besoin d’aides mieux adaptées à leur réalité. La FCCQ recommande notamment au gouvernement d’étudier la possibilité d’offrir un prêt pour le montant des salaires, convertible en subvention si l’entreprise démontre qu’elle emploie toujours ces personnes après une certaine période », a expliqué Charles Milliard.

« Le gouvernement démontre une grande ouverture en acceptant que la démonstration de perte de revenus s’effectue sur la base d’une comptabilité de liquidités plutôt que de facturation.  Il serait bénéfique de faire également preuve de flexibilité en permettant d’accorder un pourcentage d’aide qui pourrait varier en fonction de la baisse de revenus. Pour l’instant, la preuve d’une baisse de revenus de 30% demeure en vigueur pour les mois d’avril et mai, alors que nous pourrions rejoindre également le seuil de 15% pour ces mêmes mois », a ajouté M. Milliard.

La FCCQ et la CCVD soulignent également le remboursement annoncé pour les cotisations des employeurs à l’assurance-emploi, au Régime québécois d’assurance parentale et au Régime des rentes du Québec.

« Ces aides additionnelles aideront grandement nos entreprises. La FCCQ salue également le fait que les OBNL pourront inclure ou non le financement gouvernemental dans le calcul de la perte de revenus. L’annonce d’aujourd’hui permettra à plus d‘entreprises de traverser cette crise et d’être prêtes pour participer à la relance économique », a conclu Charles Milliard.

100 M$ pour la formation des employés des entreprises

Un coup de pouce nécessaire pour nos entreprises, selon la FCCQ et la CCVD

Val-d’Or, le 6 avril 2020 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) saluent l’annonce du Programme actions concertées pour le maintien en emploi (PACME) du gouvernement du Québec qui allouera une somme de 100 M$ pour la formation des employés des entreprises.

« Il s’agit d’une excellente initiative qui tombe à point nommé. Le programme permettra d’aider les entreprises à conserver un lien d’emploi avec leurs employés et à être encore plus productives pour la relance à venir. Le Québec se démarque par son économie du savoir et nous encourageons les formations qui permettent de se perfectionner et d’accroitre la productivité », a réagi Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

La FCCQ et la CCVD rappellent qu’il s’agit d’une démarche qui avait porté ses fruits lors de la crise économique en 2008-2009, avec la mise en place du programme SERRÉ (Soutien aux entreprises à risque de ralentissement économique).

« Profiter de cette période de ralentissement économique pour augmenter les compétences de leurs employés et s’attaquer au déficit de productivité, l’un des principaux enjeux économiques du Québec, est une opportunité sur laquelle le Québec peut construire. La mise en place de formations pour les travailleurs est également un message positif tourné vers l’avenir en vue de la reprise des activités », a déclaré Charles Milliard.

« La Chambre de commerce de Val-d’Or sera un partenaire actif afin d’aider les entreprises à mettre en place des initiatives de formations. » a ajouté le président, Jérémi Fournier.

La relance économique passe aussi par l’innovation

La formation est un investissement utile et nécessaire pour se préparer à la relance économique. La FCCQ et la CCVD insistent également sur l’importance à accorder à l’innovation et soumet trois propositions facilement applicables pour amoindrir les impacts de la crise et stimuler les investissements en innovation :

  • Accélérer la mise en place du C3i
  • Bonifier le Programme Innovation
  • Abolir la franchise de 50 000$ lors des demandes du crédit R&D

Accélérer la mise en place du C3i

La FCCQ et la CCVD proposent d’accélérer la mise en place du crédit d’impôt à l’investissement et à l’innovation (C3i) annoncé lors du dernier budget et de le bonifier spécifiquement pour le temps de la crise. Cette mesure viendrait supporter les entreprises dans un investissement accéléré et non planifié.

Bonifier le Programme Innovation

Le programme Innovation, administré par le ministère de l’Économie et de l’Innovation, a notamment pour objectif d’appuyer les entreprises aux différentes étapes d’un projet d’innovation et de les soutenir dans leurs démarches de protection de leur propriété intellectuelle.

« Dans le contexte actuel, nous croyons qu’une bonification de ce programme pourrait aider les entreprises qui souhaitent investir en innovation et stimulerait l’économie. Le gouvernement pourrait, par exemple, doubler les montants maximaux admissibles et augmenter les taux d’aide maximaux à 75% », a expliqué Charles Milliard.

Abolir la franchise de 50 000$ lors des demandes du crédit R&D

« Les critères d’admissibilité au crédit d’impôt à la recherche et développement ont été modifiés il y a quelques années et l’introduction d’un seuil de dépenses minimales admissibles non remboursables de 50 000$ a été désavantageuse pour plusieurs entreprises. Pour les aider à investir en R&D, la FCCQ recommande au gouvernement de rétablir le remboursement de cette première tranche de 50 000$ », a conclu M. Milliard.