Dévoilement des finalistes du 41e Gala de l’Entreprise

Val-d’Or, le 28 avril 2021 – La Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) a dévoilé aujourd’hui les 25 entreprises finalistes du Gala de l’Entreprise 2021. La CCVD se réjouit de pouvoir honorer les accomplissements et réussites des entreprises par ce grand rendez-vous annuel.

Les finalistes du Gala de l’Entreprise 2021

C’est à un comité Jury entièrement indépendant de la CCVD qu’est revenue la tâche d’analyser les dossiers de candidature et de désigner les finalistes et lauréats de cette 41e édition. Rappelons que les finalistes découvriront seulement lors du Gala la ou les catégories dans lesquelles ils sont nommés. Les finalistes du Gala de l’Entreprise 2021 sont :

Aki – Épicerie zéro déchet
Arkys
Béton Barrette
Coiffure Euphoria
Constructions Boréal Abitibi
Dans la Prairie
Distribution Sogitex
Ébénisterie AMB
Ékorce Kombucha
Eldorado Gold Québec
Forage Nordik
Fourrures Grenier
Groupe Autobus Maheux
Groupe VM
Hôtel Continental / Le Complexe 93
HydroTech Mining
IGA Extra Famille Pelletier
Les Becs Sucrés-Salés
Meubles Éco Déco
Mine Canadian Malartic
Minrail
Pharmacie Charline Prévost & Karine Rochette-Jalbert
Pharmacie K. Duval, M-A. Roy, M. Dupuis et V. Gilbert
Spiritueux Alpha Tango
TRAME Architecture + Paysage

Retour aux sources                           

C’est sous le thème Retour aux sources que se déroulera cette 41e édition. « Au cours de la dernière année, nos entreprises ont fait preuve d’une grande résilience et devant les nombreux défis, plusieurs en ont profité pour revenir à l’essentiel et solidifier leurs bases afin de mieux traverser la tempête. Nous savons les pieds et les mains qu’elles ont fait pour s’assurer de la satisfaction de leurs employés, tout comme de leurs clients et, dans le contexte, nous trouvions d’autant plus important de célébrer les succès de nos gens d’affaires » mentionne Simon Bertrand, 2e vice-président de la Chambre de commerce et président pour une troisième année du Gala de l’Entreprise.

Un budget centré sur la relance socioéconomique du Canada qui comporte certains angles morts

Val-d’Or, le 20 avril 2021 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD)applaudissent plusieurs mesures du budget 2021 du gouvernement du Canada, comme le prolongement des mesures d’urgences pour les entreprises, notamment la Subvention salariale et la Subvention d’urgence pour le loyer. Des montants substantiels sont également prévus, pour des secteurs qui auront besoin d’un soutien accru pour la relance, comme le tourisme. Toutefois, la FCCQ et la CCVD font valoir que des sommes supplémentaires auraient été nécessaires, notamment dans la formation des travailleurs.

« Le gouvernement fédéral a joué un rôle stratégique important dans l’appui aux entrepreneurs et aux travailleurs depuis le début de la crise de la COVID-19. Cet appui doit se maintenir tant et aussi longtemps que tous les secteurs de notre économie n’auront pas retrouvé un niveau d’activité comparable à ce qui prévalait avant l’imposition des restrictions sanitaires », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Tout en reconnaissant la menace électorale qui plane à Ottawa, nous demandons aux parlementaires de permettre le plus rapidement possible aux mesures du plan de relance économique de prendre forme et de se rendre aux citoyens », a ajouté Charles Milliard.

Le budget 2021-2022 présenté par la ministre des Finances, Chrystia Freeland, inclut le prolongement de la Subvention salariale d’urgence du Canada (SSUC) et la Subvention d’urgence du Canada pour le loyer (SUCL) jusqu’au 25 septembre. La FCCQ et la CCVD ont réitéré avant la présentation du budget qu’elles demandaient leur prolongement jusqu’en 2022.

« Le prolongement de trois mois supplémentaires des subventions salariales et au loyer est bienvenu. Il nous semble cependant évident qu’une autre prolongation sera nécessaire. De moins en moins d’entreprises en auront besoin, grâce à la campagne de vaccination qui permettra éventuellement la levée des restrictions sanitaires, mais il est important de garantir ce filet de sûreté à celles qui auront moins de chances. Nous nous attendons à ce qu’un soutien gouvernemental prolongé leur soit offert et annoncé rapidement pour permettre la rétention d’une main-d’œuvre aguerrie », a poursuivi M. Milliard.

Des incitatifs à l’emploi intéressant, mais des craintes quant à la viabilité de l’assurance-emploi

En main-d’œuvre, le gouvernement a répondu favorablement à plusieurs demandes du milieu des affaires en annonçant divers incitatifs pour favoriser le retour en emploi de nombreux travailleurs ayant quitté le marché du travail au cours de la dernière année. La bonification de l’Allocation canadienne pour travailleurs et le programme d’embauche pour la relance économique du Canada, la bonification des soutiens pour développer des opportunités d’emplois pour les étudiants et jeunes diplômés viendront aider les entreprises à embaucher de la main-d’œuvre compétente.

Le gouvernement avait gonflé les attentes l’automne dernier en annonçant le plus grand investissement de l’histoire en matière de développement des compétences. Quoique des investissements conséquents soient annoncés, les attentes ne sont pas comblées en ce sens auprès de la communauté d’affaires.

« Nuage gris à l’horizon, aucun plan n’est présenté dans le présent budget afin de faire face au déficit important que la présente pandémie a amené au régime d’assurance-emploi. Les entreprises craignent le choc tarifaire important qui surviendra en 2022, lorsque le moratoire sur les taux de cotisations au régime d’assurance-emploi prendra fin. Le directeur parlementaire du budget avait estimé à plus de 50 G$ le déficit à combler en quelques années, avant la prise en compte des diverses bonifications annoncées et envisagées par le gouvernement fédéral », a insisté M. Milliard.

Aide au tourisme

Une nouvelle enveloppe destinée au secteur du tourisme totalisant 1 G$ est annoncée, secteur économique ayant été affecté par la crise de la COVID-19.

« Les investissements annoncés pour nos festivals et nos entreprises touristiques constituent un signal important pour les entreprises de ce secteur. Même si les temps sont durs depuis le printemps 2020, la prospérité reviendra. D’ici le retour de la clientèle, c’est un bon moment pour investir dans la modernisation des installations et le développement de nouveaux produits. Le Québec a une main-d’œuvre d’une qualité exceptionnelle ainsi que de formidables attraits touristiques. L’aide annoncée aujourd’hui devra être versée rapidement et de manière équitable pour tous les joueurs de l’industrie afin de permettre une reprise des activités aussi rapide que possible », a souligné Charles Milliard.

Services de garde éducatifs à l’enfance

Cet hiver, la FCCQ et la CCVD ont eu l’occasion de mettre en lumière l’enjeu du manque de place en service de garde qui représente un frein important pour le développement économique des entreprises québécoises. Elle constate l’investissement de 30 G$ sur 5 ans par le gouvernement fédéral afin de mettre sur pied un réseau national de garderies et souhaite que la compensation financière qui serait octroyée pour le Québec soit précisée dès que possible, afin d’aider à combler plus de 50 000 places manquantes en services de garde au Québec, pour ainsi soutenir l’activité économique de nos entreprises.

Photo par NORTHFOLK sur Unsplash

Mise en candidature au conseil d’administration 2021-2022

Val-d’Or, le 20 avril 2021 – Depuis sa création en 1937, la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) est considérée comme l’un des plus grands réseaux de gens d’affaires de la région. Comptant aujourd’hui plus de 1080 délégués, la CCVD a pour mission de promouvoir le développement économique et d’agir comme un partenaire mobilisateur. Pour ses membres et la communauté d’affaires, la CCVD est un réseau de communication et un lieu d’échanges en matière de croissance et de réussites économiques.

L’assemblée générale annuelle de la Chambre de commerce de Val-d’Or aura lieu au mois de juin prochain. Lors de cette séance, les membres procéderont à l’élection du nouveau conseil d’administration. Cette année, huit sièges sont à combler. De ce nombre, quatre administrateurs seront élus par les membres de la CCVD et quatre administrateurs seront nommés par le conseil d’administration lors de l’assemblée générale annuelle.

Les membres du conseil d’administration agissent à titre de bénévole et leur rôle est d’orienter les prises de position de la Chambre de commerce et veiller au développement socioéconomique de son territoire. Notez qu’être un membre délégué de la CCVD et avoir soldé sa dernière cotisation est un critère de base pour être élu au sein du conseil d’administration. Les assemblées générales régulières ont lieu habituellement le 2e lundi du mois à 16 heures, sauf en période estivale.

Si vous désirez soumettre votre candidature, veuillez remplir le formulaire ci-dessous AVANT le 14 MAI 2021 et le retourner par télécopieur au 819 825-8599 ou par courriel au hparadis@ccvd.qc.ca

La FCCQ et la CCVD saluent le pragmatisme du budget Girard

Val-d’Or, le 26 mars 2021 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) sont satisfaites des grandes lignes du budget 2021-2022 du gouvernement du Québec. Elles saluent entre autres la baisse d’impôt prévue pour les petites et moyennes entreprises à 3,2 %, pour les premiers 500 000 $ de revenus.  

Le report exceptionnel de l’atteinte de l’équilibre budgétaire en 2027-2028 correspond à la position énoncée dans les attentes prébudgétaires de la FCCQ et la CCVD et est compréhensible étant donné les circonstances, afin de maintenir l’aide nécessaire de la part du gouvernement pour les entreprises. Elles prennent acte du déficit de 12,3 G$ pour la présente année budgétaire et 8,5 G$ pour l’année suivante. 

« La dernière année a été fort éprouvante sur le plan sanitaire bien entendu, mais aussi sur le plan économique, ce qui amène des conséquences importantes pour nos finances publiques, entre autres dans les rentrées fiscales. Pour nous, il s’agit d’un budget qui arrive à un moment exceptionnel et le gouvernement se doit de mettre en place toutes les conditions nécessaires pour retrouver dès que possible, la croissance économique que nous avions avant la crise. En ce sens, le plan budgétaire semble correspondre à nos attentes et le gouvernement vise juste en apportant un soutien à nos PME et à des secteurs clés qui ont été malmenés comme la culture et le tourisme », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ. 

Aide aux entreprises et aux secteurs en difficulté pour favoriser la relance 

Le budget 2021-2022 prévoit 150 M$ supplémentaires pour prolonger les deux principaux programmes d’aide aux entreprises mis en place pendant la crise de la COVID-19 : le programme Aide d’urgence aux PME (PAUPME), incluant son volet Aide aux entreprises en régions en alerte maximale (AERAM), ainsi que le programme d’action concertée temporaire pour les entreprises (PACTE). 

« Le gouvernement se doit de maintenir une présence importante dans l’aide octroyée auprès des entreprises pour les aider à se relever des conséquences économiques de la COVID-19. Les entrepreneurs qui bénéficient des programmes d’aide sont heureux d’apprendre que 150 M$ sont ajoutés au budget pour les prolonger. Nous demeurons cependant préoccupés par l’absence de mesure qui rendrait ces programmes plus accessibles et plus flexibles. Dans la situation exceptionnelle que nous vivons, il faut tout faire pour faciliter la vie des entrepreneurs. L’ajout de fonds est bienvenu, mais encore faut-il que les entreprises y aient accès sans être embourbées dans les formulaires administratifs. L’État peut et doit faire mieux, un an après le début de la pandémie », a affirmé Charles Milliard. 

Des sommes insuffisantes en formation en entreprise et en main-d’œuvre 

Malheureusement, la FCCQ et la CCVD estiment que l’aide budgétaire aux entreprises ne s’attaque pas assez vigoureusement aux enjeux de main-d’œuvre. Le gouvernement investit massivement pour retourner les chômeurs sur les bancs d’école. Cependant, rien n’est prévu pour la formation des travailleurs déjà en emploi. Alors qu’il y a actuellement plus de 148 000 postes vacants au Québec, le moment aurait été opportun d’accroître les mesures d’aide à la formation en emploi alors que les entreprises et leurs employés doivent plus que jamais s’adapter à de nouvelles réalités technologiques qui transforment les opérations. 

Ce budget mise fortement sur la persévérance scolaire de nos jeunes en leur donnant accès à des milieux d’apprentissages plus modernes et plus adaptés tout en prévoyant l’embauche de plus de professionnels pour les appuyer. Cette vision est partagée par la FCCQ et la CCVD Il s’agit du meilleur investissement possible pour le développement économique et social du Québec. Cependant, comme tout employeur, nous craignons que le gouvernement se heurte à la rareté de main-d’œuvre et que cela nuise à la réalisation de ses objectifs. 

« La rareté de main-d’œuvre et le manque de productivité demeureront des enjeux importants pour les prochaines années, malgré le contexte des 12 derniers mois. C’est pourquoi il est important que le gouvernement consacre les ressources nécessaires afin de rehausser fortement les compétences des travailleurs québécois de toutes les industries. Malheureusement, nous aurions espéré davantage du budget d’aujourd’hui pour cet enjeu si déterminant pour l’économie et les régions québécoises », a rappelé Charles Milliard. 

Des sommes pour des secteurs clés et le développement régional 

Un montant total de 523 M$ sur six ans est consacré au développement régional, dont 205 M$ pour le soutien et la relance du secteur touristique. Pour la FCCQ et la CCVD ce secteur est un pilier de notre économie et il est plus fortement touché que d’autres par la crise actuelle, en particulier dans les villes aux quatre coins du Québec. L’aide annoncée pour relancer nos centres-villes et pour stimuler les investissements privés dans le secteur touristique était très attendue.  

« L’accès au territoire est un autre enjeu crucial auquel nous devions répondre : la bonification du soutien aux aéroports ainsi qu’aux transporteurs aériens régionaux et par autocar répond ainsi à un besoin criant. Nous accueillons aussi positivement les appuis financiers supplémentaires accordés aux industries forestières, minières et aérospatiales, tout comme les investissements pour étendre les réseaux de distribution du gaz naturel, par exemple », a souligné Charles Milliard. 

Places en services éducatifs  

En ce qui concerne l’un des enjeux les plus préoccupants pour la région à l’heure actuelle, le budget prévoit 116 M$ pour la création de places en services éducatifs à l’enfance tout comme 33 M$ pour la formation d’éducatrices. « On voit dans le budget que certaines de nos préoccupations ont été entendues, notamment sur l’importance de valoriser et de former davantage d’éducatrices en petite enfance. Des sommes vont également être dirigées vers les milieux familiaux, qui ont été malmenés ces dernières années par le gouvernement. Est-ce que ce sera suffisant pour renverser la vapeur et faire une réelle différence rapidement sur notre territoire? Chose certaine nous allons suivre le dossier de près et continuer de militer pour que nos jeunes parents puissent retourner au travail car nous avons besoin d’eux au sein de nos entreprises. » affirme Jérémi Fournier, président de la CCVD.  

Le manque de places en services de garde éducatifs à l’enfance nuit à l’activité économique

Montréal, le 25 février 2021 – Alors qu’on fait état du manque criant de places de qualité en services de garde éducatifs à l’enfance, la dération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) en compagnie de l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) et de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ), constatent que cette situation a également un impact important sur les entreprises du Québec et nuit à l’activité économique.

Conséquences directes sur le développement des entreprises
Les échos auprès de la communauté d’affaires partout au Québec y compris en Abitibi-Témiscamingue, parmi les effets négatifs tangibles des manques de places, notons le retard dans le développement de nouveaux projets et les difficultés pour avoir accès à de nouveaux capitaux et le recrutement de nouveaux talents.

« Le milieu d’affaires aux quatre coins du Québec nous exprime plus que jamais que le manque d’offre pour des services de garde éducatifs a des conséquences directes sur l’essor de leur entreprise. On observe des tendances lourdes sur l’activité économique, notamment en raison d’une hausse du taux d’absentéisme et d’employés qui doivent diminuer leurs heures travaillées. La conciliation travail-famille représente un défi pour de nombreux parents et trop souvent, ce sont des femmes qui en sont les victimes et qui doivent retarder leur retour au travail », a déclaré Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

Un outil puissant pour l’économie
Des données qui font écho aux nombreux témoignages que l’on trouve sur les réseaux sociaux et dans les médias. Dans un sondage maison mené par l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) auprès des familles sans place, près de 50% des répondantes subissent présentement une baisse de leur salaire, parce qu’elles doivent travailler à temps partiel, prolonger leur congé parental ou carrément retourner à la maison, alors que l’autre 50% des répondantes cherchent désespérément une place avant la fin de leur congé parental.

« À l’origine, un des objectifs des services de garde éducatifs à contribution réduite était de permettre aux femmes d’accéder au marché du travail. Un objectif atteint avec plus de 70 000 femmes qui y ont accédé grâce à cette mesure. Force est de constater que la pénurie actuelle est un pas en arrière. Le manque de places empêche des milliers de femmes de poursuivre leur carrière et de participer pleinement à la société québécoise » a affirmé Geneviève Bélisle, directrice générale de l’AQCPE.

Enjeu important en région
Selon les données de l’Observatoire de l’Abitibi-Témiscamingue, le territoire de la MRC de La Vallée-del’Or est celui le plus en déficit de places en services de garde éducatifs è l’enfance en région, alors que les places offertes ne couvraient de 77% des besoins au 31 décembre 2019. Les estimations du ministère de la Famille démontrent que plus de 600 places sont manquantes alors que seulement 8 ont été ajoutées en région depuis 4 ans. Cela sans compter que les personnes responsables d’un service de garde en milieu familial continuent de diminuer de façon marquée depuis plusieurs années.  

« Il ne faut pas que le manque de place de qualité en services de garde éducatifs soit un frein au maintien et au développement de l’économie dans toutes les régions du Québec. Surtout dans le contexte actuel de pénurie de main-d’œuvre, où chaque emploi compte » a renchéri Samir Alahmad, président de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ).

« Nous le savons, la main-d’œuvre est déjà un grand défi pour nos membres et particulièrement ces dernières années, les enjeux en lien avec les garderies sont venus exacerber la pénurie. Ça constitue un réel frein à la croissance et à la compétitivité de nos entreprises, en plus de nuire à notre attractivité. Nous clamons que nous sommes une région d’opportunités, nous travaillons à attirer des familles ici et à retenir nos jeunes professionnels, il nous parait essentiel de pouvoir à tout le moins leur offrir des places en garderie pour leurs enfants » a ajouté Jérémi Fournier, président de la CCVD.

Des conditions gagnantes pour la relance économique
« À l’instar des préoccupations du ministre de la Famille pour le développement des places, on sent une préoccupation palpable de la communauté d’affaires du Québec sur cet enjeu. Nous croyons qu’il serait nécessaire à ce stade-ci que des ministres à vocation économique, sociale et régionale s’impliquent également, afin qu’un plan d’accélération de places de qualité en services de garde éducatifs soit déployé pour les 50 000 enfants en attente. Il faut mettre en place toutes les conditions gagnantes pour une relance économique forte et durable », a poursuivi M. Milliard.

Recommandations pour pallier le manque de places
Afin de corriger la situation et d’atténuer les impacts économiques du manque de places, le gouvernement doit agir sans délai. La FCCQ et la CCVD proposent de procéder à une réelle évaluation du taux de couverture des places offertes dans les différentes régions du Québec et d’offrir une formation accélérée pour l’éducation en service de garde, techniques d’éducation à l’enfance et formation à la petite enfance.

« Il est impératif de débloquer le développement des services de garde éducatifs pour le milieu économique et pour la société québécoise dans son ensemble. Nous souhaitons jouer un rôle actif dans ce dossier et nous nous rendons disponibles pour discuter de solutions d’accélération du développement avec le ministre Lacombe. Nous répondrons aussi présents dans l’exercice des consultations publiques qu’il entend mener pour son livre blanc », a conclu Charles Milliard.

À propos de la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD)
La Chambre de commerce de Val-d’Or est un organisme à but non lucratif qui compte plus de 1 115 délégués actifs au sein de la communauté d’affaires. Ayant pour mission de promouvoir le développement socioéconomique, la CCVD agit comme partenaire mobilisateur, porte-parole et défenseur des entreprises de son territoire.

À propos de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)
Grâce à son vaste réseau de 130 chambres de commerce et 1 100 membres corporatifs, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) représente plus de 50 000 entreprises exerçant leurs activités dans tous les secteurs de l’économie et sur l’ensemble du territoire québécois. Plus important réseau de gens d’affaires et d’entreprises du Québec, la FCCQ est à la fois une fédération de chambres de commerce et une chambre de commerce provinciale. Ses membres, qu’ils soient chambres ou entreprises, poursuivent tous le même but : favoriser un environnement d’affaires innovant et concurrentiel.

À propos de l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE)
L’AQCPE exerce un leadership dans la représentation, le rayonnement et l’accompagnement d’un réseau éducatif de CPE/BC de qualité pour les enfants de 0 à 5 ans.

À titre d’expert en petite enfance, l’AQCPE vise à concrétiser le projet de société d’offrir à tous les enfants de 0 à 5 ans un accès universel à des services éducatifs de qualité en CPE/BC en collaboration avec les familles.

À propos de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ)
L’Association des garderies privées du Québec (AGPQ) défend les grands principes fondamentaux tels que le droit de l’enfant à des services de garde de qualité, le libre choix des parents quant au mode de garde, une plus grande reconnaissance du réseau des garderies privées par les instances gouvernementales, le rôle social tenu par le réseau au Québec, la pérennité des services de garde et la diminution des disparités existantes entre les garderies privées et les CPE.

L’AGPQ représente et défend ses membres sur différents comités, instances gouvernementales et tables sectorielles de la petite enfance, offre des services de formation et d’information à ses membres, promouvoit la continuité des garderies subventionnées et représente celles-ci à travers le Québec.

Photo par BBC Creative sur Unsplash

La CCVD en mode recrutement malgré la pandémie

Val-d’Or, le 9 février 2021 – Pour une 4e année consécutive, la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) collabore avec la Fédération des Chambres de commerce du Québec (FCCQ) dans le cadre du programme Un emploi en sol québécois, qui vise à favoriser l’intégration en emploi des personnes issues de l’immigration récente dans les régions du Québec.

Malgré la situation actuelle, les défis liés au recrutement de main-d’œuvre sont toujours bien présents sur notre territoire et la CCVD n’a pas ralenti ses efforts visant à supporter ses membres dans cette réalité. Les entreprises sont invitées à déposer leurs offres en ligne et à configurer leur profil web afin que la FCCQ puisse sélectionner des candidatures pertinentes et leur offrir des entretiens à distance avec des gens qualifiés pour joindre leurs équipes. 

« En visitant le site www.emploisolquebecois.ca, les gestionnaires pourront choisir différentes options, gratuites ou non, selon leur besoin. C’est une occasion en or pour les entreprises et l’investissement en temps qui est demandé est largement justifié par les résultats qui ont été observés jusqu’à maintenant chez nous. La présélection des candidats est déjà effectuée, ce qui facilite et accélère grandement le processus. » explique Jérémi Fournier, président de la CCVD.

En plus de la plateforme virtuelle qui a été améliorée, la CCVD dispose désormais d’une toute nouvelle vidéo de présentation pour le programme, mais surtout pour Val-d’Or. Cette dernière présente sous différents aspects les avantages et les services qui sont offerts aux citoyens ainsi qu’aux nouveaux arrivants. Ponctuée de témoignages de Valdoriens issus de l’immigration, la vidéo, dynamique et humaine, démontre l’étendue des possibilités offertes par notre territoire et a comme objectif de séduire de potentiels candidats.

« Nous espérons que les employeurs en profiteront pour s’approprier ce nouvel outil dans leurs différentes opérations de recrutement. En un coup d’œil, on découvre les différentes facettes de notre ville, c’est une façon différente d’avoir un aperçu des services et de faire brièvement connaissance avec le milieu dans un contexte où c’est plus difficile pour nos futurs employés de nous visiter avant leur installation définitive. » poursuit M. Fournier.

« L’implication de la chambre de commerce de Val-d’Or est un atout important pour le programme Un emploi en sol québécois. En effet, depuis le début de l’initiative, une trentaine de postes ont été comblés à Val-d’Or et nous savons que l’attractivité de cette ville ne cesse d’augmenter. En s’associant à cette initiative, la Chambre de commerce de Val-d’Or agit comme le porte-parole du programme et permet de relayer de nombreuses ressources et informations. Pour toutes ces raisons, nous tenions à saluer la Chambre de commerce de Val-d’Or pour cette belle collaboration », a ajouté Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

Une vidéo pour faciliter le recrutement

Grâce à sa participation au programme Un emploi en sol québécois, qui vise à favoriser l’intégration en emploi des personnes issues de l’immigration récente dans les régions du Québec, la CCVD dispose désormais d’une toute nouvelle vidéo de présentation pour le programme, mais surtout pour Val-d’Or. Cette dernière présente sous différents aspects les avantages et les services qui sont offerts aux citoyens ainsi qu’aux nouveaux arrivants. Ponctuée de témoignages de Valdoriens issus de l’immigration, la vidéo, dynamique et humaine, démontre l’étendue des possibilités offertes par notre territoire et a comme objectif de séduire de potentiels candidats.

 « Nous espérons que les employeurs en profiteront pour s’approprier ce nouvel outil dans leurs différentes opérations de recrutement. En un coup d’œil, on découvre les différentes facettes de notre ville, c’est une façon différente d’avoir un aperçu des services et de faire brièvement connaissance avec le milieu dans un contexte où c’est plus difficile pour nos futurs employés de nous visiter avant leur installation définitive. » affirme Jérémi Fournier, président de la CCVD »

Visitez le site www.emploisolquebecois.ca pour plus de détails.

Photo par Glenn Carstens-Peters - Unsplash

Les Chambres de commerce rassurées par l’annonce d’un retour aux paliers d’alerte régionaux

Abitibi-Témiscamingue, le 26 janvier 2021 – Les Chambres de commerce de l’Abitibi (CCIRN, CCVD, CCICA et CCIAO) sont rassurées par les affirmations de François Legault, qui laissent présager un retour au code de couleurs ainsi qu’aux mesures sanitaires adaptées à la situation de chaque territoire. Alors que plusieurs élus y allaient de la même demande en début de semaine, les Chambres de commerce sont d’avis que des assouplissements doivent s’appliquer dès le 8 février prochain, dans une situation où le nombre de cas actif serait toujours stable ou à la baisse.

« Selon les données en date du 25 janvier, le nombre de cas actif pour l’Abitibi-Témiscamingue se chiffre à un taux de 31,8 pour 100 000, ce qui est largement en deçà de ce qu’on peut observer à Montréal et dans les environs. Ce serait injuste pour notre population, mais également pour nos entrepreneurs de voir les mêmes mesures s’appliquer, alors que tous ont fait des efforts remarquables pour minimiser les risques de contagion. » affirme Jérémi Fournier, président de la Chambre de commerce de Val-d’Or.

À ce sujet, le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Rouyn-Noranda, David Lecours ajoute : « La recrudescence des cas suivant la période des fêtes semble maintenant sous contrôle, et nous sommes heureux que le gouvernement reconnaisse la situation particulière des régions. Cela dit, le plus tôt nous aurons les détails complets du plan de déconfinement, le plus tôt nos entrepreneurs pourront s’y préparer. »

« Depuis bientôt un an, les entreprises d’ici comme d’ailleurs vivent dans l’incertitude. Alors que le stress financier, mais également psychologique est grand, permettre à nos entreprises de rouvrir leurs portes de façon sécuritaire et de s’y préparer convenablement, amènerait sans contredit un grand soulagement dans la communauté d’affaires. » souligne Mariane Michaud, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie du Centre-Abitibi.

Finalement, la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi Ouest rappelle l’importance et la responsabilité de chacun face aux mesures à appliquer. « Il incombe à chaque citoyen de faire les efforts nécessaires et de respecter les mesures sanitaires en place afin de garder un contrôle sur le virus. Il faut maintenir notre vigilance pour s’assurer de permettre à notre économie de fonctionner dans ce contexte particulier », conclu Patrick Perreault président de la CCIAO. 

41e Gala de l’Entreprise : Retour aux sources

Val-d’Or, le 11 décembre 2020 – C’est sous le thème Retour aux sources que la Chambre de commerce de Val-d’Or (CCVD) a procédé ce matin au lancement officiel du Gala de l’Entreprise 2021. Les entreprises sont invitées à soumettre dès maintenant leur candidature dans l’une ou plusieurs des 18 catégories, et ce, jusqu’au 15 février 2021. Les lauréats seront dévoilés lors de la soirée du Gala de l’Entreprise qui se tiendra le 5 juin prochain, dans une formule adaptée aux recommandations en vigueur.

Mise en candidature

« Nous avons actuellement le privilège de profiter d’une situation économique enviable comparativement au reste de la province. Malgré le contexte actuel, nous continuons de voir une effervescence économique et un dynamisme de notre milieu. Le dynamisme et la force de caractère de nos entrepreneurs ne cessent de nous épater, alors que l’on assiste à de nombreuses ouvertures, reprises d’entreprises et expansions. Ce sera donc l’occasion de souligner ce travail acharné et de célébrer ensemble! » affirme Hélène Paradis, directrice générale de la Chambre de commerce.

Pour poser sa candidature : https://ccvd.qc.ca/cahier-de-candidature/

La thématique Retour aux sources

La présidence de ce grand évènement, qui se déroulera sous la thématique Retour aux sources, a été confiée pour une 3e année à M. Simon Bertrand : « À travers cette thématique, nous voulons souligner la résilience, la solidarité et la détermination dont notre communauté d’affaires a fait preuve cette année. En 2020, nos entreprises se sont questionnées sur ce qu’elles font de mieux, sur leurs forces, leurs priorités. Elles se sont concentrées sur l’essentiel, alors que tout autour était en changement. C’est aussi ce que le comité organisateur fera lors de la préparation du Gala. L’essentiel, pour nous, c’est de reconnaître et souligner les réussites des gens d’affaires, et c’est encore plus important lorsqu’on surmonte de grands défis. » explique M. Bertrand.

Le visuel, conçu par Loula Création, est épuré et très organique. Les formes arrondies et les traits courbés font écho à la flexibilité dont ont fait preuve nos entrepreneurs. Elles évoquent également l’esprit de communauté, alors qu’on peut les voir s’emboîter et se superposer pour créer de nouvelles teintes, comme les entreprises de notre territoire, à la fois complémentaires et uniques

Photo par Glenn Carstens-Peters - Unsplash

L’accès à Internet haute vitesse: «Une promesse, c’est un incontournable»

Rouyn-Noranda, le 8 octobre 2020 – Les Chambres de commerce de la région se rappellent la promesse électorale de M. François Legault de brancher l’ensemble du Québec d’ici 2022 à Internet haute vitesse. « C’était une promesse phare de la Coalition Avenir Québec (CAQ) lors des dernières élections provinciales. On constate aujourd’hui qu’il y a encore beaucoup de travail à faire pour boucler la boucle. Nous avons donc besoin de toutes les forces du milieu pour transformer cette promesse en réalité », indique Mariane Michaud, présidente de la Chambre de commerce et d’industrie du Centre-Abitibi. Cette dernière interpelle donc avec force les députés de la CAQ en Abitibi-Témiscamingue pour faire avancer ce dossier beaucoup plus rapidement.

Selon David Lecours, président de la Chambre de commerce et d’industrie de Rouyn-noranda, toutes les MRC de l’Abitibi-Témiscamingue sont touchées par une desserte déficiente d’Internet haute vitesse. «L’engagement du ministre Fitzgibbon sur les ondes d’Ici Radio Canada à supporter l’Abitibi-Témiscamingue dans ses démarches de branchement à Internet haute vitesse est un encouragement de taille. Cet accès est nécessaire pour notre région, surtout avec l’accroissement du télétravail, le virage 4.0 du secteur minier et l’enseignement à distance qui prennent tous de l’expansion»,  rappelle M. Lecours.  

Le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Abitibi-Ouest, Patrick Perreault, ajoute de son côté «qu’on parle aussi beaucoup d’autosuffisance alimentaire alors que de plus en plus d’entreprises agricoles ont besoin d’être branchées pour optimiser leur production. Une bonne partie des entreprises agricoles sont localisées au Témiscamingue et en Abitibi-Ouest, là où la couverture Internet fait nettement défaut ».

En période de pandémie, le dynamisme des régions est crucial pour assurer leur développement économique. « Il est donc urgent et essentiel que la CAQ respecte ses promesses en lien avec Internet haute vitesse tout en respectant l’échéancier prévu et que les intervenants issus des différents partis politiques de l’Abitibi-Témiscamingue mettent la main à la pâte, qu’ils proviennent du palier fédéral, du palier provincial ou du palier municipal », considère Jérémy Fournier, président de la Chambre de commerce de Val d’Or.

En conclusion, les chambres de commerce de la région précisent qu’elles sentent de plus en plus d’impatience à propos de ce dossier majeur pour l’avenir économique du Québec.

Photo par Glenn Carstens-Peters – Unsplash